LA THERAPIE DE KENT(Ep 9) FIN

le devoir de prendre soin de Kent pour éviter d'admettre qu'elle aimait le faire. 

Alors pendant les neuf jours suivants, les deux bonnes femmes se masturbèrent alternativement avec Kent. Et ce dernier, bien sûr, était au paradis. Il avait deux belles femmes secouant sa bite toute la journée. Il voulait qu'ils fassent plus mais il n'avait aucune idée de comment y arriver. Dans les films pornos qu'il regardait ou dans les histoires qu'il lisait, un garçon devait juste montrer sa bite à sa mère pour en faire sa salope. Mais c'était différent dans la vraie vie. La preuve était le fait que cela faisait plus de deux semaines qu'il avait montré sa bite pour la première fois à sa mère et qu'elle n'était toujours pas une salope affamée de bite. 

Un après-midi, Hilary a dû aller à la réunion parents-enseignants de Christine à l'école. 

Elle hésitait à y aller car elle manquerait un après-midi entier à s'occuper de son fils. Malheureusement, elle n'a pas trouvé d'excuse pour ne pas y aller. Florence était là pour s'occuper de Kent pendant que Hilary était absente. 

Peu de temps après le départ de Hilary et Christine, Kent était de nouveau excité. Sa mère s'était occupée de lui quatre fois depuis son réveil mais dernièrement, il était toujours excité. Hilary prit le tour de Florence car la dernière la remplacerait dans l'après-midi. Kent regardait un film avec sa grand-mère dans le salon lorsque le besoin se fit sentir. 

__ Nana, peux-tu me branler? A t-il demandé. Il n'avait pas l'habitude d'avoir un surnom pour sa grand-mère parce qu'il la voyait rarement mais depuis qu'elle a commencé à l'aider, elle a insisté pour qu'il l'appelle Nana. 

Tous ses petits-enfants l'appelaient Grammy El sauf Kent et Christine. Elle voulait un nom spécial pour Kent parce qu'elle se sentait très proche de lui maintenant. Kent a également oublié le «s'il vous plaît» dans sa question. Il réalisa que sa mère et sa grand-mère ne semblaient pas s'en soucier et il aimait leur parler comme ça. On aurait dit qu'il leur donnait des ordres et il a eu un grand frisson à les obéir. 

__ Bien sûr, chérie. Répondit-elle. Elle a également commencé à l'appeler «Cheri». 

Elle se leva et se dirigea vers les escaliers mais Kent l'arrêta. Il lui a demandé s'ils pouvaient le faire dans le salon pendant qu'il regardait le film. C'était amusant de voir sa mère et sa grand-mère le branler dans sa chambre mais il voulait aller plus loin. Il savait que sa mère ne le ferait jamais ou ne permettrait pas à Florence de le faire alors il en a profité de l'absence de sa mère. 

Florence a trouvé l'idée perverse. Le faire dans le salon était excitant car ils pouvaient se faire prendre, même si le risque était faible, mais le faire pendant que Kent regardait un film était le vrai problème. C'était comme s'il ne se souciait pas vraiment d'elle et qu'elle n'était qu'un outil pour son plaisir. Quand elle lui a donné des travaux manuels dans sa chambre, c'était des expériences qu'ils partageaient parce qu'ils étaient tous les deux inquiets, mais ce serait différent. 

Elle a accepté alors il s'est levé et elle a enlevé son pantalon de survêtement. Il ne portait que des survêtements maintenant parce qu'ils étaient plus faciles à mettre et à enlever. Ils se sont assis sur le canapé et Kent a continué à regarder le film pendant que Florence attrapait sa bite et l'enduisait de pré-sperme. Elle a commencé lentement avant d'augmenter et de diminuer son tempo toutes les quelques minutes environ. Elle ne voulait pas le faire jouir trop vite alors elle faisait attention à ne pas le pousser par-dessus bord. Au bout de vingt minutes, elle décida qu'il était temps de le faire jouir alors elle caressa sa bite rapidement. 

__ Oh ouais Nana, c'est ça, je vais jouir dans le bol. Lui dit-il. 

Elle chercha le bol mais réalisa que c'était dans la chambre de Kent alors elle fit la première chose qui lui traversa l'esprit. Elle se pencha et avala la tête de la bite de Kent au moment où il était sur le point de jouir. Le premier coup l'a pris par surprise et elle ne l'avala pas avant l'arrivée du second. Elle a essayé de suivre mais c'était impossible. Kent est venu de trop pour qu'elle avale après avoir raté la première liasse. Elle avalait encore beaucoup mais plus s'échappait de sa bouche et recouvrait le bas de l'abdomen de Kent, sa queue et ses couilles. Une fois qu'il eut fini, il regarda stupéfait pendant que sa grand-mère sortait sa bite de sa bouche et la léchait. Elle a utilisé sa langue pour nettoyer sa bite, ses couilles et pour se faire la pute au bord de la piscine de sperme sur son ventre. 

__ Merci Nana. Lui dit-il quand elle s'assit à côté de lui après l'avoir léché. 

__ De rien, chéri. 

Elle s'est dit que c'était une chose totalement naturelle de pousser la bite de son petit-fils dans la bouche pour boire son jus de noix et lécher ce que vous n'avez pas avalé. 

Elle ne nettoya pas la bouche après avoir avalé la graine de Kent parce qu'elle voulait garder le délicieux goût dans sa bouche. Elle n'était pas étrangère au sperme d'un homme mais elle n'a jamais vraiment aimé le goût. Ce n'était pas horrible mais elle a avalé leur foutre quand elle a fait des pipes plus pour plaire à son partenaire que pour y goûter. Mais c'était différent avec Kent. Son sperme était si délicieux et si riche qu'elle ne mangeait presque plus rien d'autre. D'autres aliments semblaient banals comparés à son sperme et elle en avalait tellement chaque jour qu'elle n'avait pas faim d'autre chose. C'est pourquoi elle ne mangeait que de la salade de nos jours. 

Elle était restée avec Kent pour regarder le reste du film même si aucun d'eux n'y a plus prêté beaucoup d'attention. Ils ont tous deux repensé au fait que Florence avait avalé le sperme de Kent directement de la source. Elle a essayé de se convaincre que ce n'était pas un gros problème et elle a réussi. Une pipe n'était pas très différente d'un travail à la main, surtout si vous avalez le sperme dans les deux cas. Elle a également donné beaucoup de fellations à des hommes dont elle ne se souciait pas pendant ses rendez-vous avec eux. C'était un bon moyen d'éviter les relations sexuelles. Elle aimait tellement Kent que les perdants avec lesquels elle sortait, alors il méritait au moins les mêmes avantages dont ils jouissaient. 

Pour Kent, l'expérience a été époustouflante. La sensation d'une bouche sur sa bite était incroyable. C'était tellement différent d'une main. C'était excitant d'avoir les mains de sa mère ou de sa grand-mère sur sa bite mais ce n'était que légèrement différent de la sienne. Cependant, la sensation d'une bouche était une première et c'était génial. C'était tellement humide, chaud et doux qu'il voulait le sentir à nouveau. Penser à la bouche de Florence sur sa bite a rendu Le t dur à nouveau en un rien de temps. Il se leva devant elle. 

__ Nana, peux-tu me sucer? lui demanda-t-il excité. 

__ Non fils, ce n'est pas une bonne idée, a-t-elle répondu. 

Elle n'était pas encore prête à donner une pipe à son petit fils. Elle a rationalisé ce qu'elle avait fait plus tôt comme acceptable, mais elle n'en a pas fait de règle. 

__ S'il te plaît Nana, tu viens de le faire, donc ce n'est pas grave, lui dit-il avant d'enlever son pantalon. 

La vue de la grosse bite dure de Kent et l'odeur de sa virilité ont incité Florence à reconsidérer. Elle l'a déjà fait en quelque sorte et elle l'aimait; Kent aussi apparemment. De plus, ce serait formidable d'avoir cette arme massive dans sa bouche. Elle a toujours aimé faire des pipes et les pénis qu'elle avait déjà sucés n'étaient pas aussi beaux, aussi longs ou épais que pour Kent, si le sucer serait tellement mieux. De plus, l'odeur qu'elle respirait lui disait de le faire. Il lui disait d'adorer ce coq comme il le méritait. 

Sans rien dire, Elle se pencha vers lui puis ouvrit la bouche et avala autant de bite qu'elle put. Elle avait à peine quatre pouces de la bite de Kent dans sa bouche et elle se sentait déjà rassasiée. Elle a attrapé la base de sa queue avec sa main et a commencé à bouger la tête tout en caressant lentement son arbre. Elle utilisa sa salive pour enrober la bite et pour faciliter la branlette puis sa langue pour lécher la tête de sa bite dans un mouvement rond. *

Une fois qu'elle était habituée à avoir ce gros bâton de chair dans sa bouche, elle a essayé de le pousser plus profondément. Très soigneusement, elle prenait de plus en plus de sa bite après chaque coup de tête. Elle ne pouvait pas dépasser six pouces sans bâillonner alors elle a arrêté d'essayer d'aller plus loin. 

C'était un défi pour une autre fois… ECRIT PAR TONY HEMRIX

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