SI JE SAVAIS (Ep 3)

La métisse au corps fabuleux venait d'atterrir discrètement à son domicile après avoir passé deux heures de coït mémorable. Le téléphone portable de mit à vibrer de lui même et sans tarder elle répondit à l'appel dont le numéro était enregistré au nom de Rich Andrews.
AÏCHA : Salut mon bae....
Aïcha et Denise s'étaient retrouvées le lendemain dans leur table banc habituel, l'une persuadée que les dès étaient déjà pipés et l'autre prête à donner le meilleur d'elle-même. Aïcha ne se priva pas de faire des signes à son étalon de la veille. Tantôt c'était des clins d'oeil, tantôt des bisous envoyés à la volée ou encore un doigt qui caressait la fente de sa poitrine pulpeuse. Personne ne voyait ce lot de gestes provocateurs sauf celui à qui il était destiné et Denise sa camarade et voisine de banc.
Le soir venu, Aïcha et son nouvel amant se retrouvaient à nouveau pour leur petite mais fabuleuse séance de baise d'entraide. L'élève aidait le surveillant à se vider les bourses et en retour ce dernier devrait s'assurer qu'elle serait au premier rang des admis du devoir. Cette fois ci Aïcha ne demanda pas d'escorte pour quitter la place publique Bonita pour se rendre au domicile de son étalon bien braqué, elle connaissait déjà le chemin. Et deux heures et demie plus tard elle était de retour à la maison.
Ce mélange de mièvrerie et de parodie sexuelle se répéta telle une boucle d'enregistrement jusqu'au dernier jour où un geste de trop sera traître de la métisse
Aïcha dans son comique habituel de provocation ne se priva pas de provoquer gestuellement le surveillant-amant en cette journée nuageuse du vendredi. Malheureusement pour elle, elle oublia de jeter un œil à son environnement. Ses gestes répétés étaient repérés pas par deux mais trois personnes. Trois personnes qui malgré leur envie de réclamer l'ordre se taisaient parceque voulant chacun tirer profit de cette situation. Le géant surveillant musclé qui savait que le soir venu il chevaucherait cette magnifique bombe métisse pour une dernière fois, la fille de la couturière qui ne voulait pas se faire des ennemis dès le premier mois de l'année scolaire, et le deuxième surveillant mince chétif et mal rasé ( tout le contraire physique du surveillant amant ).
Pendant qu'elle sortait de l'établissement, Aïcha fut interpellé par le surveillant chétif dont elle ne connaissais pas le nom mais allait le découvrire dans les prochaines secondes.
Surveillant 1 : MADEMOISELLE
Aïcha : Oui, vous me voulez quoi ? Le devoir est finie je vous rappelle
Surveillant 1 : Je vous conseille de changer de ton jeune fille
Aïcha : Cette jeune fille à un nom vous savez ? Elle s'appelle Aïcha
Surveillant 1 : Alors Aïcha je te conseille de changer de ton
Aïcha : Sinon quoi ?
Surveillant 1 : Sinon je te traduis au conseil de discipline.
Aïcha : Et pour quoi ?
Surveillant 1 : Pour utilisation d'un téléphone portable lors d'un devoir, communication avec un surveillant lors d'un devoir et corruption d'un surveillant.
Aïcha : Je ne sais pas de quoi vous parlez et vous n'avez pas de preuve, et il est trop tard pour ça non ?
Surveillant 1 : Ce sera ta parole contre la mienne. Je me demande si ta voisine de banc tiendrait les mêmes propos que toi. J'ai déjà rédigé un rapport que je pourrais aller remettre au proviseur soit disant que je l'avais oublié. À toi de voir !
Aïcha : Merde, t'es qu'un abruti. Tu veux quoi à la fin ? Tu veux quelque chose sinon tu serais directement allé voir le proviseur et non venir m'en parler (dans un mélange de peur et de colère
Surveillant 1 : Ben !
Aïcha : Quoi ?
Surveillant 1 : L'abruti se nomme Ben
Aïcha : Je m'en branle. Tu veux quoi ?
Ben : Je veux la même chose que ce que tu donnes à l'autre surveillant pour qu'il se taise. Il doit sûrement avoir accès à ce tas de cul pour garder le silence. Je veux la même chose. Je veux te niquer. Ce soir ! Retrouve moi à l'ancien bar " la citerne " au quartier économique à dix-huit heures trente minutes. Sois pas en retard
Ces derniers mots sonnaient dans les oreilles aux multiples percings de Aïcha tel des chants funèbres. C'était ça ou le conseil de discipline, soit le sexe, soit une exclusion définitive de Togoville High School qui avait un règlement stricte concernant les tricheries.
Aïcha contacta le surveillant-amant pour l'informer de son indisponibilité ce soir, ce qu'il compris malgré lui et reporta la séance au lendemain matin.
La métisse se retrouva bientôt à l'adresse indiquée quelques heures plus tôt et se fit escortée par Ben vêtu d'un tricot beige et d'un short au design de militaire. Faire vite et quitter au plus vite ce homme était ce qu'elle avait à l'esprit. Aussitôt à l'intérieur du domicile spacieux et bien parfumé de Ben, Aïcha commença à se dénuder sans attendre la moindre seconde.
Aïcha : Fais vite, qu'on en finisse. Avec ton micro pénis, je suis sûre que t'es de ces mecs qui éjaculent au bout de cinq minutes et s'endorment juste après.
Ben : Mais du calme ma chérie, sois gentille avec moi, tu pourrais bien être surprise.
Aïcha : Haha très drôle, parles pour toi
Aïcha ôtait les agrafes de son soutien-gorge rouge qu'à elle s'arrêta net pétrifié et fascinée par la grosseur de cette verge pourtant molle.
Aïcha : Bonté divine. Ça c'est une queue de cheval. ( Les yeux médusés par ce croquis noir )
La métisse n'était plus pressée de partir, elle aurait voulu que le temps s'arrête pour qu'elle puisse profiter convenable de ce phallus de Titan. Son excitation était monté d'un cran et Ben le surveillant arborait fièrement un large sourire pendant qu'il exhibait le marteau du dieu du tonnerre qui pendait entre ses jambes chétifs
Aïcha : Merde tu vas me déchirer la chatte
Ben : T'en fait pas, la douceur ça me connais
Ben s'approcha lentement de la métisse et colla à son corps de sorte que sa grosse verge touche ses cuisses. Il l'aida à enlever le soutien-gorge pendant qu'elle caressait cette grosse bête noire.
Pas le temps de de rejoindre la chambre à coucher, le match allait commencer là, dans le salon. Des cris allaient bientôt faire exploser les fenêtres en vitres.
Pendant que les professeurs de Togoville High School corrigeaient les dernières copies, ce matin du dernier samedi de septembre, dès huit heures, Deux de leurs élèves venaient de sortir de leur lit au même moment. L'une après des heures de révisions et l'autre après une folle séance de libertinage. L'une convaincu d'être au premier rang et l'autre convaincu d'avoir tout donné dans ce devoir.
Aïcha s'était levée avec peine de son lit de princesse. Son ventre ne se fit pas prier avant de se mettre à gargouiller. Elle n'avait pas eu le temps de manger quoi que ce soit à cause de la fatigue oppressante du coït de la veille. Après le passage d'une voiture sur un terrain boueux, les pneus laissent des traces de son passage. Il en est de même pour Aïcha. L'énorme sexe de Ben lui avait comme reconfigurer le minou, la sensation d'un trou en son intérieur. Mais elle était loin de se douter que cette randonnée sexuelle était loin d'égaler ce qui l'attendait chez son surveillant-amant.
Mum Denise : Bonjour ma chérie
Denise : Bonjour mamounette
Mum Denise : ça te ressemble pas de te réveiller à huit heures trente du matin
Denise : J'ai bossé un peu tard la nuit
Mum Denise : Ah d'accord. Ton petit déjeuner est sur la table
Denise : Merci, t'es pas à l'atelier aujourd'hui
Mum Denise : Si si, j'attendais ton réveil avant de m'en aller.
Denise : Bonne journée mamounette.
La fille de la couturière s'installa à bord du fauteuil en face de la télé qu'elle alluma à la recherche d'une chaîne musicale. Il ne lui a fallu que quelques minutes pour avaler le plat que sa daronne a pris trente minutes à rissoler.
Aïcha pris à la hâte son petit déjeuner et fit éruption de sa maison.
Aïcha : MAMAN J'AI PAS DE MONNAIE. J'AI PRIS CINQ MILLE DANS TON SAC À MAIN ( avait-elle lancé à sa mère qui prenait son bain avant de s'en aller sans attendre la réponse)
Quelques minutes plus tard Aïcha frappa à la porte de son surveillant-amant. Ils s'étaient entendus de remplir les dernières termes du contrat cette matinée, mais ce qui n'était pas prévu c'est qu'elle retrouve Ben chez Mat le surveillant-amant. En un éclair elle compris qu'elle allait se faire chevaucher par deux étalons, ce que son esprit acceptait difficilement
Aïcha : Attendez! Vous vous foutez de moi ou quoi ? C'est quoi ce foutoir ?
Mat : Ah salut Aïcha, j'ai demandé à Ben de m'assister pour notre dernière baise. Je te propose un plan à trois.
Aïcha : Donc vous vous connaissiez ?
Mat : Oui mais c'est pas ce que tu crois. C'est Ben qui m'a informé de votre petite aventure hier, et donc je lui ai raconté aussi la mienne. On a convenu qu'on pourrait le faire à trois aujourd'hui
Aïcha : NON ! JE DIS NON ! C'est absurde. Je refuse cette connerie. Vous voulez me détruire la chatte ? ( Tonna t'elle avec rage )
Mat : Le cul aussi ( avec un sourire ironique )
Ben : Sois pas timide. Sois pas avare. Tu vas aimer. Ce sera pour toi un moment inoubliable.
Aïcha : Vous me prenez pour une pute ?
Mat : T'es pas loin de là. Et je crains que tu n'as pas trop le choix de toute façon.
À ce moment Aïcha venait de se rendre qu'en effet elle n'avait pas d'autre choix à faire, elle risquait d'être expulsé du lycée, pourquoi rebrousser chemin alors qu'elle était déjà au bout du tunnel ? Elle avait envie d'essayer un truc nouveau. Elle s'était tapée plus d'une dizaine de mec mais jamais elle n'avait essayé de plan à trois. C'était l'occasion pour elle de ressentir ce que ressentent ces actrices porno qu'elle voyait sur son ordinateur portable.
Ben et Mat l'invitèrent à venir s'assoir au milieu d'eux dans le long canapé mousseux
La ligue des justiciers, Les Avengers et bien d'autres groupes de justiciers sont les fictions que préfèrent Denise. Bien qu'elle soit de la gente féminine, la fille de la couturière est de ces rares jeunes filles qui se délaissent de Novelas pour embrasser Cana+ Action. Et ce matin encore Warner Bros Pictures comble une fois de plus ses attentes. Denise s'était toujours demandé ce que ressentaient ces héros qui à genoux sous une pluie torride avaient perdu un être cher. La vue du Joker assassinant les parents de Bruce Wayne alias Batman fit remonter en elle un souvenir refoulé.
Denise n'avait pas pleuré à la mort de son père, elle avait cherché en vain les larmes mais les puits à l'intérieur de ses yeux semblaient arides sans la moindre goutte de larme. Cette douleur qui vous serre le cœur et vous empêche de respirer, cette sensation d'impuissance, ce désir de remonter le temps. La perte d'un être cher provoque tout un amalgame d'émotion que Denise comprenait désormais. Elle se leva éteignit le poste téléviseur et respira un grand coup les yeux levés vers la dalle comme pour faire évanouir les larmes qui commençaient à naître dans ses yeux.
Pendant que Denise avait le cœur serré de douleur par la lasso de vérité de Wonder woman, Aïcha se préparait à se faire caramboler par le marteau de Thor de Ben et les coups Hulk de Mat, deux surveillants qui étaient dans la bonne classe au bon moment.
Ne voulant pas perdre le contrôle de la situation Aïcha pris les devants et commença à prodiguer de lentes caresses aux sexes des surveillants par dessus leurs shorts. Mat la saisit par la nuque et l'embrassa avec fougue pendant que Ben explorait ses courbes de la main. Comme d'un commun accord, tous deux firent sortir leurs phallus qui gonflaient sous la fermeture, devenant ainsi à l'étroit.
Ben : T'as déjà fait une fellation ?
Aïcha : Non, pourquoi ?
Ben : On va t'apprendre à la faire
La métisse même si elle le voulait ne pouvait plus revenir en arrière, la machine était lancée et il fallait qu'elle aille jusqu'au bout. Malgré l'excitation, l'idée de ne plus pouvoir prendre son pied avec Rich Andrews lui traversa l'esprit, elle en eu un petit pincement au cœur. Aïcha se souvint alors de la bonne vieille méthode qu'elle n'avait plus pratiqué depuis quelques temps.
A suivre...
Ecrit par Privas-Winner