MA PROF

MA PROF | AfroRaise

Avec cette pandémie, le gouvernement a fait fermer toutes les écoles et églises. Au début c'était assez  ennuyeux et fatiguant. j'ai fini par m'y faire en me plongeant dans les nombreux romans que mon professeur de français m'a prêté. On entretenait une vraie relation de professeur à meilleur élève. Au delà de son cours, je l'adorait, elle. J'en viens presque à oublier quel jour était quel jour, tellement tous se ressemblent. Les cours en ligne et sur les médias sociaux on débuté. Pour nous les étudiants en master c'était une autre histoire, nos cours débutaient à partir de 18h comme à l'heure normale des cours avant le confinement. J'avais terminé mes trois mois de stage en entreprise et j'ai repris la routine quotidienne de ma vie. Un concours régional de littérature a été organisé, la première partie était la rédaction d'un projet et la deuxième l'explication détaillée d'une œuvre littéraire au choix parmi celles proposées. Ma professeur de français m'encouragea à m'inscrire et à concourir, ce que j'ai accepté à condition qu'elle soit mon coach dans cette aventure.

Le jour fatidique approcha à grand pas, elle et moi on travaillait un jour sur trois. Elle venait à mon domicile car elle a pour tradition de ne jamais montrer son habitation à ses étudiants ou élèves. Bien qu'elle me dépasse de sept ans,  il nous arrivait de discuter comme des personnes du même âge. Nous fûmes un jeudi, c'était la veille du dépôt des travaux littéraires effectués. Ma professeur était venue avec des plats faits maison, aujourd'hui c'est le dernier jour, nous allons énormément travailler a-t-elle dit avant d'entrer dans la maison. Mes parents étaient au courant de notre travail et ils m'encouragaient  à donner le meilleur de moi même. Ce qu'ils ne savaient pas c'est que je nourrissais en moi un amour passionné pour ma professeur. Bien qu'elle soit toujours vêtue de robe de grands mères je la trouvais terriblement sexy peut importe son accoutrement. Ma prof déposa son sac et enleva son cache-nez à usage unique. Elle le jeta à la poubelle et demanda de l'eau et du savon pour se laver les mains, le respect des règles barrières était primordiale.

 

 Ma prof : Alors ? Tu terminé le projet et l'explication de l'œuvre ?

 

 Moi : Oui néné ( elle m'interdisait de l'appeler madame ou professeur, j'ai donc choisi néné c'était assez drôle) en relisant mon projet j'ai ajouté certains détails pour le rendre plus explicite.

 

 Ma prof : D'accord, fait voir ( en prenant le document de sept pages de mes mains)

 

 Moi : Pour l'explication détaillée, j'ai modifié la structure de mon œuvre. J'ai remarqué qu'arrivé à un moment j'étais sorti de la peau de l'auteur donc j'ai radié la dernière partie. Je vais terminer d'ici une heure ou deux.

 

 Ma prof : Excellent. Pendant ce temps je vais jeter un œil sur ton projet (elle ne quittait pas le document des yeux)

 

Le temps passa plus vite que je l'espérais. La présence ma prof dans la salle où j'ai l'habitude d'étudier m'empêchait de me concentrer totalement. Je jetais des coups d'œil discret vers elle et je la déshabillais du regard en essayant de deviner les rondeurs qui se cachent sous cette longue robe de grand mère. Elle était tellement concentrée qu'elle ne remarqua même pas que je me passais la langue sur les lèvres, c'est ce que je pensais.

 

 Ma prof : Tu as quelque chose à me dire ? (La tête toujours plongé dans le document et un stylo rouge en main)

 

 Moi : Euh non non, désolé. Je savais pas que tu me regardais. (En tournant brusquement la tête vers mon ordinateur portable)

 

 Ma prof : Je t'observais depuis un moment. C'est demain tu rends ton travail et tu n'as pas encore fini, alors pas de distraction.

 

 Moi : D'accord mademoiselle.

 

 Ma prof : Pardon ? (En regardant vers moi par-dessus ses lunettes )

 

 Moi : Excuse moi. D'accord néné.

 

Sa dernière réaction me prouva qu'elle n'était pas en colère donc je continuais à travailler le cœur léger mais je ne pouvais m'empêcher de jeter de temps en temps un œil sur cette sublime demoiselle. Une fois la correction terminée, elle me rendit le document sur lequel elle avait souligné les erreurs grammaticales et lexicales et prit mon ordinateur portable sur lequel j'avais rédigé l'explication détaillée. Elle vint s'asseoir à côté de moi sans gêne et commençait à lire mes écrits. Je notais les corrections au fur et à mesure.

Une heure plus tard elle tomba enfin sur la dernière page. À ce moment je commençais à perdre contrôle de moi. Je n'étais plus concentrée et son parfum m'enivrait. Plus je pensais à ma prof, plus le désir montait en moi. Mon sexe entra en érection et je me donnait tout un mal  pour le cacher entre mes cuisses. C'était peine perdue, Antoinette l'avait déjà remarqué et riait intérieurement. Bien, je crois qu'on a fini dit-elle avant de poser sa main sur ma cuisse. Je frémit un cours instant laissant voir mon sexe tendu qui traçait une courbe dans mon short. Elle plongea son regard dans le mien sans toutefois enlever sa main. Je la fixais à mon tour puis je me demandais ce qui allait se passer. Je déglutis bruyamment en essayant de détourner mon regard.

Elle promena sa main sur ma cuisse jusqu'à s'arrêter au dessus de mon sexe. Ma respiration se troubla et s'accéléra. Je me demandais si c'était la réalité j'étais entrain de vivre. Elle posa son index sur ses lèvres pulpeuses me faisant signe de garder le silence. Elle plongea sa main dans mon short et mon intimité n'avait plus de secret pour elle. Je sursaute légèrement en sentant la paume de sa main enrouler mon sexe. Elle saisit ma verge déjà tendue et le branla lentement tout en ne me quittant pas des yeux. Sa main me procurait un plaisir inédit. Comme un enfant je la regardais faire tout en me demandant jusqu'où elle pouvait aller, je ferme les yeux pour me laisser emporter. Elle fit sortir sa main et commença à défaire le nœud qui attachait mon short. Elle sortit mon sexe et passa un bref coup de langue sur la tête. Jamais auparavant je n'avais ressenti ce plaisir.

Lève toi, m'ordonna t'elle. J'exécute en laissant mon short sur le carrelage et elle s'accroupit entre mes jambes. Pour moi c'était un rêve, me faire sucer par ma prof c'était impensable, jusqu'à maintenant.

Elle passa un autre coup de langue sur mon sexe puis approcha ses lèvres peintes de rouge à lèvres. Elle prit la tête de mon sexe entre ses lèvres et la suça comme un bonbon. Je la regardais me procurer un plaisir inédit. Elle me branla puis absorba le trois-quarts de mon sexe dans sa bouche avant de le recracher. Mon sexe dégoulinait de salive. Elle passa sa langue depuis mes bourses jusqu'au bout du champignon puis commençait à me sucer énergiquement. Elle aspirait mon sexe puis l'éjectait aussitôt. J'étais au anges.  Je commençais à grogner quand je sentis mon plaisir exploser au bout de cinq minutes. Elle enleva sa bouche et continua à me branler avec ses deux mains. Ses mains allaient et venaient sur ma verge tantôt dans la lenteur tantôt dans l'ardeur. Sans crier gare, je lui envoie un grand jet de sperme qu'elle a recueilli de justesse dans ses mains. Il manquait de peu pour que sa robe en soit couverte. Perdu dans mes pensées je me laisse tomber sur le siège et je la regardais nettoyer le foutre sur ses mains. Elle me fixait à nouveau de son regard hypnotiseur et commença à enlever sa robe en la faisant passer au dessus de sa tête. La robe laissa place à de petits seins sans soutif et des fesses bien arrondies. Elle se baissa sans gêne et enleva son dessous qu'elle laissa trainer sur le sol. Elle s'approcha de moi, se plaça de part et d'autre de mes jambes et positionna mon sexe à l'entrée du sien. J'approchais ma tête pour l'embrasser mais m'arrêta dans mon action en me disant un non ferme. Je ne compris pas pourquoi mais j'obéis. Elle frotta vigoureusement mon sexe contre l'entrée de sa grotte et commençait à descendre lentement. Elle fut pénétré en lento jusqu'à ce que mon sexe soit totalement avalé par le sien. Elle poussa un léger soupir et pressa ma tête contre sa petite poitrine. Sans réfléchir, je passe la langue sur les contours de ses tétons et je les titille légèrement avec mes dents. Elle gémit en lâchant un petit "oh oui". Je lui pris ses tétons entré mes lèvres et les suçait majestueusement. Elle entama des montées et des descentes sur mon sexe, ce qui donnait naissance à un plaisir indescriptible. Ma prof était maîtresse du jeu. Elle me chevauchait violemment pendant que je lui suçait tour à tour les tétons. Elle devenait incontrôlable. Ses descentes étaient rapides et brutales, le choc de son postérieur contre le mien provoquait des bruits semblables à des claquement dans toute la pièce. Des gouttes de sueur perlaient sur nos fronts. Elle continuait de me chevaucher  ardemment une dizaine de minutes, sans perdre vitesse ni puissance. Je sentais que la fatigue la gagnait alors je la souleve, mon sexe toujours à l'intérieur d'elle, puis la dépose sur la table à côté de l'ordinateur portable.

Elle passa ses jambes sur chaque côté de mes épaules puis m'ordonna de la tamponner de toute mes forces, ce que je fis. Je sortis mon sexe de sa grotte puis la pénétrait d'un coup sec et violent. Elle lâcha un cri aigu en ouvrant grand les yeux. Je commençais aussitôt à la tamponner violemment. Et gémissait à en perdre la voix.

Sa respiration se fit plus rapide et elle faisait de geste rapide m'indiquant qu'elle n'arrivait plus plus à respirer. Sans paniquer, je ralenti mes coups puis je m'arrête. je lui donne son inhalateur qui était à côté de mon ordinateur. Elle aspira deux grandes bouffées puis me lança un sourire de satisfaction.

 

Je repris aussitôt le rythme de mes coups, je lui donnais de grands coups qui la repoussaient et je la tirais vers moi pour lui donner un autre coup plus puissant que le précédent. Ses petits seins allaient et venaient au rythme de mes coups.  Je commençais à me faire plus violent quand je sentis mon orgasme approcher. Je m'allongeai  sur elle et pris ses tétons dans ma bouche. Je jouissais en elle en grognant sans retenue. J'étais en extase. Elle me serra contre elle et me fit profiter de sa chaleur. Je lui donne quelques baisers supplémentaires qui je lèche ses délicieux tétons . Je restais allongé sur elle pendant quelques secondes puis mon téléphone portable se mit à sonner. La sonnerie ressemblait étrangement à celle de mon réveil. Ça doit être tes parents, me dit néné.

 

Je ferme les yeux pour me relever et en les rouvrant je me retrouve dans mon lit. Je tourne péniblement la tête et je vois que mon réveil indique six heures du matin. Je soulève ma couverture puis je découvre mon drap abondamment mouillé.

 

Comment expliquer que je viens de faire un rêve érotique concernant ma professeur de français qui a été emportée par ce virus qui ne laisse aucun répit aux asthmatiques ? Je jette un œil sur mon ordinateur posé sur la table au fond de ma chambre et je vis mon projet et l'explication détaillée du concours littéraire qui n'avaient pas bougé depuis trois jours.  Je me lève du lit, je plie le drap en boule puis je me dirige vers les toilettes en repensant à mon rêve et à ma professeur qui fut emportée par le COVID 19 il y a quelques jours.

Le concours, il y avait mieux que moi, mais je n'ai pas démérité, avaient dit mes parents.

 

~ End ~

 

Ecrit par Privas_Winner

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