NOTRE HISTOIRE (Ep 10)

NOTRE HISTOIRE (Ep 10) | AfroRaise

-------ODILON---- 

À peine 18h15, je me pointe déjà chez les parents de Fidélia. Elle m'avait dit que son père  aimait la ponctualité et donc de venir un peu avant l'heure mais la vraie raison pour que je sois  là sitôt c'est pour pouvoir parler avec elle avant. Je ne peux lui faire la surprise si je doute de  son amour. 

Une grosse bouquet à la main et un sac de course remplie des bons vins que son père aime,  selon Fidélia. Je sonne et une dame vient m'ouvrir et je demande aussitôt à voir Fidélia. Elle  était si compréhensive qu'elle me fait passer par derrière pour que je puisse rentrer en douce  dans la chambre de ma sirène. Avant de s'éclipser, elle me faisait savoir qu'elle était la  gouvernante. Je la remercie et sans tarder, je pénètre la chambre de mon ange. 

Elle n'était pas dans la chambre mais j'entends l'eau coulée de la douche. Je me permets alors  de m'asseoir sur son lit. J'étais entrain de contempler ses photos accrochées aux murs quand  j'entends d'un coup. 

-...: oh mon Dieu! 

Je me retourne et la vois, uniquement qu'en serviette. Tient, ça me rappelle quelque chose. 

Je souris et me dirige vers elle. Elle paraissait très surprise de me voir et a toujours une main sur  la poitrine. Je l'attire vers moi par la taille et renifle son cou. 

-moi(murmure) : comme tu sens bon ma belle sirène. 

Elle sursaute, se dégage de moi et part fermer la porte à clé. 

-elle(main sur la poitrine): tu es complètement fou ? Comment tu es rentré dans ma chambre ? -moi(sourire) : la gouvernante m'as laissé entrer. 

-elle : tu es vraiment fou. Mes parents sont juste en bas et.... 

-moi(en la collant à moi): shut! Viens là et tais-toi un peu.

Je tente de l'embrasser, espérant vraiment qu'elle me repousse. Mais rien, RIEN, rien du tout.  Elle me répond normalement. Non mais quelle femme réagira de cette manière après avoir  surpris son homme avec une autre? 

-elle (murmure) : laisse-moi aller me préparer... 

-moi(entre deux baisers): attend... Un peu... 

-elle(sourire): tu es vraiment fou. 

-moi(me détachant d'elle) : oui. Je suis fou de toi. Mais par contre je me demande quel est ton  état envers moi. 

-elle(sourcils froncés) : pardon? 

-moi: je veux parler de ce qui s'est passé cet après-midi au bu.... 

-elle(me coupe) : pas maintenant. 

-moi: si 

-elle: non 

-moi: oh que si MADEMOISELLE FIDÉLIA BRAUM. 

-elle(colère) : BAISSE D'UN TON AVEC MOI QUAND TU ME PARLES MONSIEUR ODILON SILVERA -moi: ALORS ÉCOUTE MOI QUAND JE TE PARLE! 

Heureusement pour nous deux que la porte est fermée à clé et qu'on ne peut rien entendre de  l'extérieur. 

Elle me dépasse et se dirige vers son armoire. Mais je l'attire et la plaque fermement sur son lit  en m'allongeant sur elle. Ainsi, elle ne pourra plus m'échapper. Mais là encore, elle gigote. 

-moi(dents serrées) : tu vas arrêter oui? 

-elle(pleure): lâche moi Odilon... J'ai pas envie d'en parler.... 

Et enfin, elle réagit comme je souhaitais. Je voulais qu'elle me montre qu'elle souffre pour  pourvoir la consoler. Elle me tape sur le torse avec toutes ses forces. Je lui bloque donc les bras  au dessus de sa tête.

-moi(calmement) : bébé, écoute moi s'il te plaît. 

-elle (pleure): je... Je ne veux pas t'écouter... Qu'est-ce qu'elle faisait là hein? Tu m'avais dit que  t'avais plus de ces nouvelles depuis. Et pourtant tu.... L'as appelé... 

-moi: bébé, je te jure que je n'ai rien fais. C'est pas ce que tu crois.... 

-elle(bouge dans tous les sens): non, mensonge. Laisse-moi... 

-moi(mille fois plus calme) : bébé regarde moi 

-elle: non! 

-moi (lui tournant le visage): regarde moi je t'en supplie. 

Elle me regarde enfin avec des yeux rouges de larmes. 

-elle(petite voix): pourquoi tu m'as..... 

-moi(la coupant) : shut! Je n'ai rien fais. Crois-moi, je t'aime. 

Je lui dis ces paroles du plus profond de mon cœur et elle me regarde enfin. Je fonce  doucement sur ses lèvres. Elle hésite avant de me répondre. 

-moi: pardonne moi de t'avoir fait du mal sans le savoir. 

-elle(sourire) : c'est vraiment injuste ta façon de te faire pardonner. 

-moi(sourire) : tu aimes? 

-elle (bouffe de rire): ne me le demande pas... Maintenant c'est bon, je te pardonne. Pardonne  moi aussi de ne pas t'avoir cru. Je t'aime. 

-moi(sourire) : moi encore plus. 

Ouff! Dieu merci. La soirée peut débuter. Elle tente de se lever mais je l'arrête. -elle(sourcils froncés) : un problème ? 

-moi: promet moi qu'après le dîner, on terminera la soirée chez moi

-elle: est-ce que j'ai vraiment le choix? 

-moi(large sourire) : oui. Tu es d'accord, je me lève. Tu n'es pas d'accord, je reste là, sur toi. -elle: trop malin toi.  

-moi: t'as tout compris. 

Elle accepte et je la laisse se préparer. Je l'aime trop cette femme. 

-------FIDÉLIA---- 

Que je suis folle. Folle d'avoir cru que Odilon pouvait me faire sa. Il m'aime trop pour me faire  souffrir. Je t'aime trop cet homme au point même d'avoir peur que mon cœur ne s'éclate en  mille morceaux, tant il déborde d'amour pour lui. 

Il est resté avec moi tout le temps que j'ai pris pour me changer et m'a tout expliqué du début  jusqu'à la fin de ce qui s'était réellement passé avec cette Milka. C'est claire qu'elle voulait nous  faire du mal. Mais elle a menti. C'est elle même qui a laissé cet homme merveilleux lui filé entre  les mains. Mais moi, je compte bien en prendre soin. Je ferais mon possible pour qu'on soit  toujours ensemble à jamais.... Hum...si seulement on peut connaître l'avenir.... 

Après la présentation, on est passé à table. Mon père n'a plus rien dit après avoir répondu à la  salutation d'Odilon. Mais ma mère est très gentille avec lui et ils se communiquent très bien.  Mon père, de temps à autre, lève le regard sur Odilon qui reste toujours calme. Et moi, je suis si  heureuse de les voir à la même table et j'espère beaucoup que le courant puisse bien passé  entre l'homme qui m'a donné la vie et l'homme de ma vie. 

-----ODILON----- 

Depuis qu'on est à table et même depuis que je me suis présenté, le père de Fidélia n'a plus dit  mot. Fidélia à raison, c'est vraiment un papa super protecteur et je le comprends. Après tout, il  s'agit de son unique enfant.

D'un coup, il me lance un regard sombre et me dit 

-lui(sec): ainsi donc c'est toi le culotté qui a osé me voler le cœur de ma fille chérie, mon enfant  unique sans même demander ma permission ? 

Les deux dames arrêtent de manger et Fidélia fait un gros yeux à son père qui ne l'a regarde pas  et ne cesse de me lancer des regards durs. 

Je respire profondément et réponds 

-moi: avec tout le respect que je vous dois monsieur BRAUM, je ne vous ai nullement volé le  cœur entier de votre fille. Une partie de son cœur vous appartient et vous appartiendra  toujours. Mais l'autre partie était depuis vide et n'attendait juste qu'à être possédée.... 

-lui(me coupe) : et tu t'es jugé digne de sa possession toi? 

-moi(sourire): bien-sûr que non monsieur. Mais c'est plutôt cette partie même qui m'a jugé  digne de la posséder. 

-lui: tu pense qu'avec ton joli discours je vais l'accepter ainsi tranquillement ? 

-moi: évidemment que non. Mais plutôt par la façon dont je suis fou de votre fille et qu'elle  aussi est folle de moi. 

-lui: et qui t'as dit que ma fille est folle de toi? Tu n'es pas irremplaçable jeune homme. -moi: peut-être que je peux être remplacé. Par vous peut-être. Mais pas par votre fille. 

-lui(à Fidélia) : ton homme s'est bien préparée je vois. Mais je suis loin d'être convaincu que  c'est l'homme qu'il te faut. 

-elle: mais pa..... 

Je la coupe en posant ma main sur la tienne et elle se tut. Ce que son père remarque et fais un  sourire en coin. 

-lui: intéressant! (À moi) tu croyais qu'en m'apportant mes vins préférés je pourrais te céder  aussi facilement ma fille?

-moi(sourire) : bien-sûr que même avec tout l'or du monde vous ne feriez rien d'aussi insensé.  Votre fille vaut plus que toute la richesse du monde. C'est une perle très rare, un miracle et un  don du ciel. 

-lui: parfait ! Levons à présent nos verres.... À ce bon dîner. 

On fait comme il l'a dit et à peine je porte mon verre à la bouche que je sens une énorme  quantité de piment dans mon vin. Je jette un coup d'œil au monsieur qui me fixe. Je comprends  alors que c'était son jeu. Sans broncher, je vide d'un trait tout le contenu de mon verre toujours  sans lui quitter des yeux. Il faut qu'il sache que je suis capable à tout pour sa fille. Après avoir  fini, ma langue me brûlait tellement et ma bouche était en feu. Il y avait beaucoup trop de  piment mon Dieu. Mais Fidélia en vaut vraiment la peine. Même pour elle je peux prendre du  poison. 

Malgré ma brûlure, je ne prends pas de l'eau jusqu'à la fin du repas. 

-lui(étonné) : fiston, ça va? 

-moi: parfaitement monsieur. 

-lui(sourire) : appelle moi David. Bienvenu dans la famille. 

Oh Seigneur, j'avais raison. C'était un test. Je jure qu'un jour je ferai le même à un malheureux  garçon qui se présentera comme étant l'homme de ma fille. 

On se serre la main et le reste du dîner était devenu une grande partie de plaisir. Je ne pouvais  rêver que ces gens si riches peuvent être aussi simples et jovial. 

-------FIDÉLIA---- 

Ah mon père m'avait fichu une trouille pas possible. Je croyais qu'il n'allait pas apprécié Odilon.  Si c'était le cas, je n'imagine même pas ce que je pouvais faire, je ne sais comment générer un  conflit entre l'homme qui m'a donné la vie et l'homme de ma vie. Je ne saurais générer. Mais là, 

tout c'est bien passé et nous sommes même entrain de discuter calmement au salon. Mon père  et Odilon n'arrêtent pas de sourire. Ils nous cachent un truc ces deux là 

-père(rigole) : ma fille, vraiment ton chéri est courageux. Je me souviens que le jour où ton  grand père m'avait fait ce tour, lors de ma présentation dans la maison de ta mère, j'avais repris  de l'eau tout de suite. 

Odilon s'éclate de rire ainsi que ma mère et même mon père 

-moi(troublée) : mais, de quoi vous parlez ? 

-père : hahahaaa... Du coup du piment. Ma puce ton chéri a but une coupe remplie de piment  mélangée avec une petite quantité de vin 

-moi(gros yeux): QUOI? 

-père : et oui. Maintenant que je l'ai fait à quelqu'un d'autre, moi aussi je suis libre. À ton tour  maintenant Odilon 

-lui: hahahaaa... Comptez sur moi. 

-moi: oh mon chéri..... 

Je commence par l'embrasser devant mes parents. Et sans hériter, il me répond tout de suite. 

-père (se raclant la gorge): HUM HUM. Attention Odilon. Vous êtes tout les deux devant nous,  un peu de respect pour les anciens 

-mère : hahï fiche un peu la paix aux jeunes toi... 

Et on recommence encore à rigoler. Un moment, Odilon devient sérieux tout d'un coup. -moi(inquiète) : bébé, un problème ? 

Il regarde mes parents qui semblent avoir compris son regard et lui hochent la tête comme  pour dire oui ou comme pour lui donner un consentement. Il me prend par la main et on se lève.  Mes parents se lèvent à leur tour et on se dirige tous vers la sortie. Je le regarde très troublée.

-moi: mais....vous me faites peur là. 

-mère : tais-toi un peu ma chérie et regarde. 

Je me tais. On monte tous les quatre en voiture et Odilon reçoit un message sur son portable. Il  sourit un peu après l'avoir lu. 

-moi(chuchote à l'oreille) : mon cœur, c'est quoi tout sa? 

Il ne répond toujours pas mais me fait juste un bisou sur le front. Mes parents n'arrêtent pas de  sourire. 

La voiture s'arrête un bon moment après sur un lieu que je ne connais pas vraiment. Mais avant  même qu'on puisse sortir, Odilon me met une bande autour des yeux. Là, c'est bizarre. Il me  guide et on rentre. Lorsqu'il me retire la bande, je me retrouve seulement avec lui dans un  jardin très peu illuminé. 

-moi : euh....où sont mes parents? C'est quoi tout ce mystère ? 

-lui(sourire) : tu as peur d'être seule avec moi ici? 

-moi(bouffe de rire): bien-sûr que non. 

-lui(sourire) : OK. Maintenant écoute moi sans interruption s'il te plait.... Tu sais, dès la seconde  que t'es rentrer dans mon bureau et que mes regardes se sont posés sur toi, je t'ai désiré tout  de suite. Non pas pour te mettre dans mon lit, mais pour te mettre dans mon foyer et dans ma  vie. Certes, on a tous les deux fait des erreurs qui nous ont beaucoup fait souffrir. Mais  l'essentiel est qu'on a appris de ces erreurs pour mieux vivre notre avenir. Et oui, je parle de  l'avenir parce que c'est toi mon avenir et rien que toi. Je t'aime tellement ma sirène bien aimée.  Sans toi je me pers et j'ai besoin de toi dans ma vie. (À genoux) Veux-tu m'épouser ma belle  sirène adorée ? 

Quoi ? Je rêve ? Mes oreilles me trompent ou c'est la réalité ? Je le regarde figée sur place et  tellement émue que les larmes coulent de mes yeux. Même pas un son ne sort de ma bouche. 

-lui(impatient) : alors? 

-moi(sourire) : oui, c'est oui. Je le veux.

Et là, une voix résonne très forte de nulle part. On dirait celui de mon père -...: ON A RIEN ATTENDU!!!! 

Et les lumières jaillirent de partout. TOUT fut éclairé. Il y avait pleins de monde. Brigitta et Mick,  son petit ami, Rhenay, la mère d'Odilon, certains amis de mon père et d'autres d'Odilon. Un  monsieur s'avance vers nous et déclare. 

-monsieur: alors par les pouvoirs qui me sont conférés, je vous déclare unis devant la loi, vous  êtes à présent mari et femme. 

-moi(troublée) : mais, qui êtes vous ? 

-Odilon : ma puce, c'est le maire. Nous venons de célébrer ainsi ta dot et notre mariage civil.  

QUOI? Je rêve ? Des gens ne cessent d'applaudir et moi je pleure de joie. Mais quelle surprise à  couper la souffle! Des serveurs sortent avec plein de truc, des pagnes, des bijoux, des boissons,  tout, TOUT pour la dot. Il avait déjà eu la liste chez mon père sans me le dire. Je pleure  tellement que je me jette dans ces bras. Il reste maintenant le mariage religieux. Jamais je ne  l'aurait imaginer. 

Quel bonheur !!!! 

------ODILON------

Une semaine déjà après notre célébration du mariage civil. Demain, c'est le mariage religieux.

Fidélia voulait que tout soit si parfait sinon, j'allais appelé un prêtre pour venir nous bénir surle-

champ. J'ai tellement hâte qu'elle soit ma femme. J'ai même acheté une nouvelle maison

plus grande que l'autre, car oui, avec Fidélia, on fera plein d'enfants elle et moi. Je veux voir des

minis elle et des minis moi courir partout dans la maison. J'adore cette femme. Je passe ma

dernière nuit dans mon ancienne maison vu que tout est déjà prêt dans la nouvelle mais

j'aimerai qu'on y aille ensemble ma sirène et moi. Et plus que quelques heures et nous seront

unis devant Dieu. J'ai tellement hâte que les minutes me semblent de l'éternité. Je ne peux

même pas l'appelé parce qu'on lui a confisqué son portable. Et oui, à la veille du mariage chez

nous, on retire le portable à la jeune mariée et n'as plus aucune nouvelle de son homme

jusqu'au lendemain. Sa présence et sa voix me manquent tellement mais, je ne peux rien pour

le moment.

Je suis sur ce grand lit mais je n'arrive pas à dormir. Demain, elle sera à mes côtés à mon plus

grand bonheur.

Soudain, la porte s'ouvre doucement. Je me lève brusquement et qui je vois LAAAAAAAA ???

Milka dans une tenue très sexy, laissant voir toutes ses parties intimes.

-moi(furieux) : non mais comment tu es rentrer?

-elle: c'est comme sa que tu m'accueille ?

-moi: fiche le camp d'ici vite fait.

-elle: ainsi donc tu compte te marier avec la fille du puissant David BRAUM ?

Oh non, je ne réferai pas la même erreur. Je me lève et la choppe violemment par le bras et

l'amène violemment jusqu'au salon.

-elle: hé, tout doux tout doux. Tu l'aime tant que sa dit donc. Mais je sais que si je te touche là,

et là....

Elle commence par me toucher dangereusement. Je me laisse aller un moment avant de me

ressaisir.

-moi(dents serrées) : éloigne toi de moi diablesse.

Je la choppe encore et avant de la jeter dehors, elle m'arrête en me suppliant.

-elle(pleurniche) : j'ai trop soif... Donne moi à boire s'il te plaît. Et après, je m'en irai tranquille

de ta vie.

OK, je pars chercher deux verres d'eau et je reviens la lui donner. Mais elle me demande encore

de la glasse. Je pars donc lui chercher sa putain de glasse et la pose dans son verre. Elle but d'un

coup et je bois un peu devant elle.

-moi: maintenant tu....

Je sens ma tête se tourner. J'arrive plus à tenir sur mes pieds.

-moi(s'écroulant): tu as....mis quoi....dans.... mon verre?

Je la vois venir vers moi, ma vision se trouble et trou noir...

Je me réveille tout nu sur son lit, plus aucun souvenir. Elle n'était pas là et je me sens tout

fatigué. Putain, elle m'a drogué....

A SUIVRE

Ecrit par KAM

 

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