LA FEMME DE MA VIE (Ep 3)

LA FEMME DE MA VIE (Ep 3) | AfroRaise

 

♦  J'ai déjà parlé ? Réplique-t-elle avec une voix presque tremblante de pleure.

 

♦  Humm Roro pourquoi tu me demandes ça ce matin? Et Pourquoi tu pleures ? Tu le sais très bien, de même que moi que nous sommes des amis, de meilleures je dis bien de meilleures amis, ma belle....

 

Elle s'éclate aux sanglots

 

♦ jeff s'il te plaît ne me fait pas ça stp...(Sniff) tu penses, que c'est à cause de l'amitié que je viens icii tous les jours? (Sniff) que je viens rester avec toi? (Sinff) te puiser de l'eau? Te préparer à manger?

 

 ♦  Humm ma belle, je sais là où tu veux en venir mais je t'aime trop pour que tu sois ma copine.... Tu te souviens que je t'avais dit que tu es un portrait textuelle de ma grande sœur qui était morte lors des manifestations politiques? Donc te voir à mes côtés m'appaise cette douleur aussi incurable. Tu ressembles  trop à ma sœur...

 

♦  (Voix tremblante) Je sais mais moi je ne suis pas ta sœur.  (Sniff)Moi je veux être ta femme raison pour laquelle je te fais tout çà là.

 

♦ Humm Roro je ne sais pas comment je vais t'expliquer.

 

♦ J'ai pas besoin de ton explication. Répliqua t-elle avec un air  de sérénité. Elle fait une petite pause et continue. Tout doucement.

 

♦ je sais que tu m'aimes... Stp il faut oublier l'image de ta sœur que tu aperçois en moi. Et donner place à mes sentiments dans ton cœur.

 

♦ Hummmmmm c'est difficile...

 

♦ Ou bien c'est à cause d'elle ?

 

♦ Ma sœur ?

 

♦ Non pas elle plutôt cette salope d'Andréa

 

Attend elle la connais? Mais je ne lui ai jamais parler d'Andréa... bon ok...

 

♦ stp ne l'insulte pas. Elle n'a rien à avoir elle..

 

♦ Si elle en a. Hier après que je t'ai préparé le spaghetti puis suis allée au cours, C'est pas elle t'as niquer?

 

♦ D'où tu sors cette histoire ?

 

♦ Anh c'est devenu une histoire ? Quand tu la copulais ,elle criaillait là.. Tu ne sais pas que j'étais venu ?

 

♦ Humm..

 

♦ (Voix tremblante) Pourtant c'est moi qui ai pris soins de toi. Tu avais trouvé un alibi. Pour me dire que tu t'es blessé la bite. C'était avec la main que tu la coïtais?

 

♦ Euh roro. Oublions ça stp. Ne t'en fais pas tout redeviendra la normale.

 

♦ Si tu le dis...

 

♦  Il faut que je te laisse j'ai cours aujourd'hui.

 

♦ Et ce que je t'ai dit tu n'as répondu...

 

♦ T'inquiètes on en parlera après.

 

♦ Non on bat le faire quand il es chaud. Donnes-moi la réponse tout de suite espèce de gros bécoteur

 

♦ Hahaha c'est moi le fer que tu veux battre?

 

♦  Ouais

 

♦ Ok j'ai écouté ce que tu m'as dis je m'entiendrai compte.

 

A peine je finissais de lui répondre quand quelqu'un toque de nouveau à la porte

 

♦ oui entrez!! lançais-je....

 

Elle est rentrée, c'était Andréa.

 

 Toujours en beauté comme d'habitude mais simplement habillée.

 

 Une jean pantalon avec un T-SHIRT bleue la dernière version de polimystere sur lequel est écrit

 *Aklaa*.

 

Mes yeux s'illuminent de joie de l'avoir vu mais mon cœur bat violement.

 

Car je sais de quoi Rolande est capable.

 

Mais je sais que Andréa est une femme de patience, aimable et gentille. Elle me lançe

 

♦ Bonjour Jeff...

 

♦ Bonjour beauté!! C'est comment?  t'as bien dodo?

 

♦ ouais! Il est 7h dépassé de 30 minutes inh faut te doucher on va partir..

 

♦ Ok ok répondis-je en me levant pour prendre mes effets.

 

Andréa qui jusqu'à présent est toujours à la porte fit son entrée et croise Rolande au hasard. Elle lui lançe

 

♦ Oh Rolande.. tu étais là depuis?

 

♦ Oh non je viens d'arriver... tu ne peux pas me voir, on t'a bien pompé hier. Comme je ne suis pas le pompeur, comment pourrais-tu me remarquer...

 

♦  Euh Roro c'est quoi ton blème je t'avais dit que je vais penser à ce que tu m'as dit non?? pourquoi tu lui dis ça ? Lui lançais-je.

 

♦ Monsieur l'avocat défenseur.

 

♦ (colère) Merde...

 

♦ Jeff arrêtes ça,  vas te doucher on va partir. Essait Andréa de me calmer

 

♦  Vous allez partir où ? Aujourd'hui jeff n'ira pas au cours. Il va rester icii, nous avons des choses nécessaires à nous dire... tu peux partir toi seule. D'ailleure je t'avais dit de laisser Jeff tranquille inh. Je ne t'avais pas dit que c'est mon mec??

 

♦  Et bien, tout ce que tu as dit et tout ce que tu diras m'en bât les couilles. Tes quel genre de meufs toi? C'est Jeff lui-même qu'est là bàs.. Il n'a qu'à me le dire. C'est pas à toi de me harceler inutilement.

 

♦ Alors Jeff il faut que tu mettes tout au clair.

 

♦  Quoi au clair ? Je t'avais dit que tu m'es comme une sœur et je ne peux pas mener une vie amoureuse avec ma sœur non? Tu veux que je dise quoi encore??..

 

♦  Jeff Tu as osé me faire ça devant cette conne? Parce qu'elle te donne de l'argent?Penses-tu que je ne peux pas m'acheter une moto? Me lança t-elle tout énervée en voulant tenir mon bras gauche.

 

♦ je ne savais pas que tu étais aussi arrogante. Laisse-moi et sors de ma chambre avant que je ne m'énerve.

 

♦ Jeff stp ne lui fais pas ça...

 

♦ Non chérie!! comment peut-elle oser jusqu'à ce point? Pour qui elle me prend cette demoiselle? Qu'elle sorte avant que je n'ouvre mes yeux.. Je n'aime pas les embêtements...

 

♦  Cheriii. me lança Andréa avec un regard de pitié.

 

Il lui manquait déjà la respiration, elle se lèva et s'en alla les yeux pleins de  larmes.

 

Je prends Andréa dans mes bras. Je la serait fortement contre moi. On se mettait à pleurer aussi. mais moi même je sais pourquoi

 

Je lui posa une bise sur son front en lui chuchotant

 

 «Bb c'est toi que j'aime»

 

 Quelques minutes plus tard je suis allé me doucher. On sommes arrivés à l'Université autours de neuf heures à cause cette saloperie.

 

Je ne savais pas qu'elle était comme ça sinon je ne lui laisserais aucune chance. Nous avions  loupé les premiers cours à cause d'elle.

 

 Les deuxièmes cours commençaient mais moi je ne t'ai pas dans ma peau. Les gens animaient le cours mais moi je me suis tue.

 

Le prof le constate car je participe d'habitude, il me demande

 

♦ Jeff Campbell tout va bien ?

 

♦ oui monsieur !

 

♦  Ok... mais je ne te sens pas..

 

je lui réponds juste avec un sourire

 

Je ne savais pas qu'une histoire d'amour pourrait aussi créer tant d'ennuis.

 

Ce n'est qu'au troisième cours que je retrouve mon esprit. Et là j'ai bien participé.

 

Je venais à peine de terminer je voulais appeler Andréa pourqu'on puisse aller à la pause ensemble comme d'habitude et pour prendre nos déjeuners au restaurant universitaire quand mon smartphone sonne.

 

Numéro inconnu je ne voulais pas décrocher mais la personne insistait seulement. La quatrièmes fois j'ai fini par décrocher...

- Allô !

 

- Allô c'est  monsieur Jeff?

 

- Oui Monsieur !

 

- Svp  pourriez-vous venir au niveau de clinique avosantos?

 

- Pour faire quoi? Qui êtes -vous?

 

- Désolé. Je suis le père de Rolande elle a fait une crise

 

- Anh bon?

 

- C'est très grave . Elle vient de se réveiller et ne veut que vous parler svp venez vite. Son battement cardiaque augmente à chaque minute.  Le docteur dit de lui faire ce qu'elle désire,Sinon elle vas avoir la deuxième crise et là ce serait pire.

 

- Ok monsieur j'arrive tout de suite.

 

- Merci vous êtes un homme bien pour ma fille.

 

Je raccroche je ne sais plus quoi faire. J'appelle Andréa pour l'informer que je pourrais plus aller déjeuner avec elle.

 

Mais elle décida aussi de m'accompagner. Vraiment sans elle je n'y arriverais pas.

 

Je ne connais pas  trop le coin. Arrivé là bas je vois son père c'est un homme un peu élancé très élégant bien cravaté.

 

 

On aurait presque la même taille. Il était très content de me voir. Il souriait seulement.

 

Sa maman me connaissait déjà donc la salutation a été brève.

 

 

♦ Alors Monsieur... où est-elle?

 

♦ Dans la chambre d'en face.

 

♦ Ok ok

 

Sa maman se lève pour m'accompagner; Andréa voulais aller aussi.

 

L'infirmière de la garde nous fit savoir que c'est seules deux personnes qui sont autorisées à rentrer.

 

 

Je la fais signe de m'attendre. Nous sommes rentrés elle dormait.

 

A peine on s'approchait de son lit qu'elle me lança les yeux fermés

 

♦ Jeff j'ai suis ta présence à travers  ton parfum.

 

♦  Anh bon?

 

♦ Oui. Elle ouvra les yeux.

 

♦ Maman stp tu peux nous laisse seuls?

 

♦ Ok comme tu veux ma belle. Elle claqua la porte derrière elle.

Rolande reprend.

 

♦ Jeff je suis vraiment désolée pour ce qui s'est passé today. J'ai pas voulu être agressive ni arrogante mais je ne sais pas ce qui m'avait pris chui désolée.

 

♦ Ne pleure pas ma belle. Lui dis je en appuyant mes deux bras contre son lit d'hosto.

 

 D'un seul geste elle emprisonna mes lèvres avec une baisée longue et douce qui me parcourait la tête jusqu'aux orteils.

 

 Je voulais la repousser mais j'arrivais pas.

 

 J'ai fini par lui répondre. C'était trop tendre et trop douce. Je serrais fortement sa nuque avec mes deux mains.

 

On est resté là  à s'embrasser environ 8minutes. Elle embrassait tellement bien. C'est devenu shows plus que Gotham.

 

 Elle déboutonnait ma chemise. Quand la porte s'ouvrit sur son père et Andréa.

 

 Elle nous a vu et resortis aussitôt en foulé. Je me suis relèvé tout furieux mais voyant son père qui a l'air très content de nous, je ne peux que m'y faire.

 

 Je ne fais qu'émettre des sourires forcés.

 

♦ Je suis fière de vous mes enfants (sourire). J'aime voir ma fille en joie comme cela. Mon gros becs.( Me lança t-il en tapotant mon omoplate.) Quand fairez-vous le mariage?

J'émis un sourire large.

 

♦  On ne sait pas encore.

 

♦ L'essentiel est que vous vous aimez c'est déjà bien ,le reste viendra. Surtout ne me la fait pas pleurer.

 

♦ Ne vous inquiétez pas papa.

 

♦  Ok merci

 

♦ Je vous en pris Papa. Papa je vais devoir partir j'étais au cours.

 

♦  Anh ok merci d'être venu, ma princesse est maintenant en joie. Dis moi tu fais quoi sur le campus?

 

♦ allemand

 

♦  Ah Guten Tag.(Rire) quellième année?

 

♦ Fin parcours master. (Sourire)

 

♦  Wow C'est génial. Alors tu aurais la maîtrise totale de la langue.

 

♦ Oui un peu

 

♦ Cool on verra ce qu'on va faire

 

♦ Merci Papa...

 

♦ cool on verra ce qu'on va faire.

 

♦ Merci Papa.

 

Je voulais ouvrir la porte , elle s'écria

 

♦ Jeff attend. Je me retourne et elle me lança

 

♦  Merci d'être là pour moi'.

 

♦ T'inquiètes pas ma belle je serai toujours là pour toi.

 

Et je m'en vais . Tout furieux contre moi même je savais plus quoi faire. Je retrouve la mère de Rolande dans la salle d'attente, je la demande humblement

♦ Maman où est la fille avec qui j'étais venu?

 

♦ Elle est sortis de la chambre en course, je l'appellais mais elle m'a ignoré

 

♦ Putain !! Lançais- je en courant aussi.

 

 je descendis les escaliers. je suis arrivé au parking, j'ai pas vu sa moto. je prend un taxi .

 

Arrivée chez lui, je peux pas aussi rentré c'est ma première fois d'aller là bas. Je sonnais son numéro mais aucune réponse plus de 20 fois.

 

Je me suis rendu au campus croyant la voir mais je n'ai même pas vu ses pas.

 

Je suis allé au sein de leur faculté je retrouve son amie bodibo qui me faisait part qu'elle n'était pas revenue.

 

J'ai ramassé ses affaires puis emportais son sac. Je sors de la faculté très pensif

 

«Au mon Dieu qu'est-ce-que j'ai encore fait ça? Que m'est-il arrivé? il ne faut surtout pas que je rates Andréa à cause de cette salope de rolande. Son amour pour moi est incommensurable et il n'y a pas son deux. oh Dieu il ne faut pas qu'elle ait un accident quelque part à  cause de moi inh»

 

 j'ai enfin décidé de rentrer en salle  pour récupérer mes affaires et rentrer aussi. Je suis arrivé chez moi complètement aplatie.

 

 Non seulement je suis lacé mais aussi et surtout épuisé. J'ai jetté mon téléphone sur le lit ,mon sac diplomatique dans les fautailles

 

 <<Cette idiote de Rolande veut me tuer mais elle pourra pas.>>lançais-je.

 

Affalé sur mon lit , J'allumais les ventilos mais j'ai toujours chaud. Je voulais écouter la musique. Je lance l'album Youssoupha le lyriciste de bantous. "Polaroid expérimentale". A la fin de l'album j'ai pris la ferme décision de m'excuser au près d'elle.

 

Mais où la trouverai-je? Ok de toutes les façons j'ai son sac avec moi. Si seulement si elle est en forme, elle viendra la chercher. Dépuis le matin je n'ai pas mangé j'ai aussi trop faim.

 

Je me lève du lit et me dirigeais vers la bouteille de gaz qui était dans l'un des coins de ma chambre. Je prends l'allumette puis l'alluma. J'ai chauffé la sauce et je prépare la pâte, que j'avalais à grande gueule.

 

 

Ça faisait déjà deux jours que ce fameux incident m'est arrivé. C'est le weekend j'appelle Andréa le téléphone fonctionne toujours mais pas de réponse.

Au moins ça me rassure je sais que rien de grave ne lui est arrivé.

 

 Je vais de temps en temps dans leurs quartiers pour voir si je pourrais tombé sur elle par hasard mais zéro.

 

Cette soirée là je n'ai pas faim malgré que j'ai rien manger dépuis le matin. Je ne fesait que penser. Je me demandais

 

<<si je n'aime pas Roland par hasard. Pourquoi n'aurais-je pas pu la repousser lorsqu'elle m'embrassait ?. Pourquoi je l'ai ressenti aussi voire même répondre jusqu'à ce que la porte est ouverte je n'ai pas su? Humm je suis entrain d'aimer cette Rolande mais à cause de sa ressemblance à ma sœur  je la mépris>>.

 

Je ne sais plus où j'en suis dans mes sentiments. L'idée me revient

 

 «non tu ne l'aimes pas. Tu l'as embrassé par pitié. Comme elle était malade tu ne pouvais pas la repousser. De toutes façons elle est comme une sœur à toi.»

 

Je suis un peu content. Puis je voulais me lève du lit pour aller prendre de l'air à la devanture,qu'une idée m'envahit l'esprit.

 

«mais comment est-ce-qu'on peut faire une telle chose à sa sœur ? Non Jeff tu dois te ressaisir.»

 

 Je sors avec ma chaise plastique bleu et je me suis installé sous le petit géranium vivace rustique de la devanture de notre maison. Les écouteurs dans les oreilles, j'écoutais les morceaux de #sido et #bushido ; ce sont les artistes allemands que je préfére le plus. Ils chantent posément et calmement ce qui me permettait d'acquérir des compétences en allemand parlé.

 

De mon côté gauche je pourrais voir la voiture du père de Rolande qui clignota et d'immobilisa de l'autre côté de la voie devant moi.

 

 Je le vois mais je fais semblant d'être concentrer sur ma musique. Il me lança.

 

 

 ♦  Ce n'est pas Jeff ?

 

J'enlève mes écouteurs des oreilles et me dirigeais vers lui tout en lui lançant

 

♦ Oh papa je ne vous ai pas vu

 

 

♦ Vous les jeunes d'aujourd'hui toujours avec les écouteurs dans les oreilles.

 

 

Je souris. Il continue

♦ C'est quelle musique déjà ? Donne je vais voir...

 

 

♦ C'est la musique allemande. Lui répondis-je en lui tendant les écouteurs. Il les plaça deux minuites et me lança

 

♦ Le rythme est bon inh ? Seulement que je ne comprends rien (rire)

 

♦ C'est normal. (Rire)

 

♦  Cool bon moi je reviens du service comme ça.

 

 

♦ Ah ok bonne arrivée alors. Et Roro elle va bien ?

 

 

♦ Tu n'as pu aller la voir

 

♦ Euch non je...

 

♦ Allons tu vas la voir toi même

 

 

♦  Ok permettez moi de faire rentrer ma chaise. J'arrive...

 

 

♦  Ok comme tu veux mon gros.

Au même moment je vois kodjovi  le plus petit de notre maison qui voulait rentrer. Il faisait la classe de cp2.

 

 

♦ Grodeck

 

♦ Eééhh Djo ça va bien ?

 

♦ Oui

 

♦  Ok fait moi rentrer cette chaise. Dépose la chez vous à mon retour je passe la récupérer.

 

♦ Ok.

Je prends la direction de la maison de M. Garros. A 6 pas j'y suis je sonnait, le gardien viens de me l'ouvrir. Dans le coin à gauche devant leur salon je pourrais les apercevoir , elle et sa mère.

 

A ma vue , elle se leva , courut vers moi.. (me laissant une bise sur la bouche.)

 

♦ Moi même je savais que tu allais venir kpoee(rire)

 

♦ Oui je suis venu voir comment tu vas ?(sourire)

 

(Mes mains autour de sa taille)

♦ Tout va bien... seulement que tu m'as manqué.

 

Nous sommes arrivés devant le salon. Sa maman la regardait bizarre à un moment donné puis brisa le silence.

 

♦ Roro je t'avais dit de faire attention à Grodeck.

 

♦ Euh... Oui  maman mais on s'aime. Pourquoi faire attention encore?

 

 

♦ C'est Grodeck qui t'a dit qu'il t'aime?

 

♦ (confus) Oui

 

♦ Grodeck c'est vrai ?

 

♦  Euch oui mais maman là où je... je suis... je suis très tourmenté. Il faut vraiment que je parle à quelqu'un...

 

♦ Depuis que t'es rentré dans la vie de Rolande, ma fille, tu es devenu mon fils aussi... alors ce serait une très grande plaisir pour moi d'être au parfum de ce qui te tracasse Grodeck.

 

 

♦ (émue) ok pas de problème..

 

 

♦ bien mon fils c'est bien. Allons sous la paillote.

 

 

Nous nous assîmes face à face...

 

♦ Jeff je suis suspendu à tes lèvres.(sourire)

 

 

♦ Humm Maman je n'ai pas si c'est normal mais je suis entrain d'aimer deux filles à la fois...(les larmes de mon œil gauche tombait) Rolande et la fille a couru pour sortir à l'hôpital. Elle me regardait tristement et me déclara.

 

♦  Jeff je sais ce que tu es en train de vivre. C'est vraiment  déplorable. Ce sont les PABAs de l'amour.  Mais on aime pas deux personnes à la fois. Parmis ces filles il  y a une qui t'inspire  l'amour et l'autre l'affection. Mais tu vas devoir être fort pour les affronter. Si tu ne sais pas faire tu vas lourder celle qui t'ait destiné. Tu vas devoir aimer avec le cœur pas avec les yeux. Je te propose de garder les deux filles en attendant celle qui t'aime et qui t'appartient restera malgré les circonstances. Ne chasse aucune d'entre elles. Accepte les toutes. Ça arrive souvent tu n'es pas le seul mon garçon. Ne pleure pas .

 

 

♦ Merci maman.

 

Je suis revenu à la maison un peu triste mais soulagé.

 

 J'ai pas envie de préparer ce soir là donc je me suis rendu au cafétéria du quartier non loin de chez moi pour me faire avaler un plat de spaghetti.

 

je suis revenu , j'ai pris mon bain puis me suis couché comme un orphelin de mère. Oui ma daronne me manque de ouff.

 

Les paroles de la mère de Rolande raisonait dans ma tête on dirait un gong jusqu'à ce que je me suis endormi....

 

C'était un lundi ,je me suis réveillé un peu tôt. Je commence à se faire des idées; il faut que j'aille à l'école.

 

 Non seulement j'ai cours mais aussi et surtout pour voir si je pourrais rencontrer mon amour. Quelqu'un toqua à la porte

 

♦  Entrez svp

 

♦  Bonjour Jeff. Me salua-t-elle.

 

♦ Oui Roro tu vas bien?

 

♦ oui oui.. Je suis venu voir comment tu vas?

 

♦ Merci c'est gentil je vais hyper bien ce matin... (sourire) On dirait hypopotame hors de l'eau.

 

♦  Hahaha tu as une fois vu hypopotame hors de l'eau?

 

♦  Oui dans mon Village en kalifornie (rire)

 

♦  (Rire) Ok dis-moi tu as cours aujourd'hui?

 

♦  Wesh il y a quelques choses?...

 

♦  Non rien ! Seulement que j'ai voulu passer la journée avec toi...

 

 

♦  Ah désolé !! Peut être demain ou après demain.

 

♦  Ok!

 

Je me levais pour aller mettre l'eau dans mon Seau de bain tout en prenant mes matériels de douche.

 

♦  Euh Jeff je te laisse te préparer pour le cours à ce soir...

 

♦ Ok prends soin de toi. surtout ne soit pas énervée inh.

 

♦ On non ! Euch tu peux me donner une des tes clés.

 

♦ Euh ok prends.

 

Je me suis vite douché puis me suis rendu au cours. Ça s'est bien passé, j'ai bien compris aussi. Vers 10 heures je suis allé à la fac d'Andréa pour voir si elle était venu. Mais je ne l'ai pas vu.

 

 J'ai demandé ces amies elles me disaient qu'elles étaient là et qu'elle a quitté ça ne faisait même pas encore une minute. Ce qui veut dire qu'elle m'aurait sûrement vu avant de s'en aller.

 

♦ Euh si elle revient, dit lui que je suis passé la voir et que j'aimerais vraiment lui parler...

 

♦  Ok . Répondit Bodibo l'une de ces meilleures amies.

 

Je suis retourné au décanat de la FLLA . Je reste pensif quelques minutes sur le reposoir. Il était l'heure pour un autre cours 13h 30 à 15h 30. Je me lève et j'y vais. Je rentrais vers 18h comme ça. J'ai dû aller à la bibliothèque pour lire un peu avant de rentrer complètement lacé.

 

J'arrivais chez moi, je ne reconnais plus ma chambre. Non seulement c'était propre mais aussi c'était remplis d'une senteur qui stupefiait

 

 Les draps bien lavé et bien dressé. Je m'installe bonnement tout content. Quelques minutes après j'aperçois Rolande dans une nimi robe de soirée noire.

 

Elle était vraiment somptueuse. Je ne la reconnais plus. Toute sa peau noire brillait, son sourire était si envoûtant. elle passait les ongles dans ses cheveux époustouflants et marchait tel un mannequin. j'étais ébloui. Ses zahos pointait bien le haut dans sa robe noire fleurie au rose malgré la sombreur de la chambre...

 Elle venait s'assoir sur mes cuisses. Elle sentait bon..

A SUIVRE

Ecrit par MANI

 

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