UN FANTASME DE CYPRINE (Ep 7) FIN

UN FANTASME DE CYPRINE (Ep 7) FIN | AfroRaise

Je caressais son clitoris de la main gauche, fis des cercles avec le pouce, des va et vient rapide puis sans crier gare, je m'introduis profondément en elle. Sa réaction ne se fit pas attendre, elle écarta grandement les yeux, souleva son dos quelques centimètres au-dessus de la table et se laissa retomber, aucun son n'était sorti de sa bouche. Son corps était traversé par une décharge électrique. Elle était chaude et humide de l'intérieur, assezhumide au point j'y étais entré sans difficulté aucune. Je restais en elle quelques instants, le temps de permettre à sa Fontaine de Jouvence de s'acclimater à mon Marteau de Thor.

Je me retirais d'elle puis repris les baisers sur son pubis et caressait du pouce son clitoris.C'était devenu mon terrain de jeu. J’introduisis en elle mon majeur, le sortit puis le fit rentrer de nouveau accompagné de l'annulaire.

 

Je me retirais d'elle puis repris les baisers sur son pubis et caressais du pouce son clitoris. C'était devenu mon terrain de jeu. J’introduisis en elle mon majeur, le sortis puis le fis rentrer de nouveau accompagné de l'annulaire, le quatrième doigt. Elle commença à gémir et à tournoyer la tête dans tous les sens. Elle prenait vraiment son ascension.

 

Je fis tournoyer mes deux doigts à l'intérieur d'elle comme une clé qui ouvrait une porte. Je limais chaque centimètre des parois de sa grotte avec mes doigts tout en continuant la rotation de mon poignet. Je ne mis pas longtemps avant de mettre les doigts sur son point G, ce fameux point source même de plaisir. Je dirigeais mes doigts vers le haut de sa paroi et massais son point G, je stimulais le point en le grattant du bout des doigts et en faisant dessus des rotations. Pendant ce temps de ma main gauche j'exerçais une pression tempérée sur son pubis afin de maximiser son plaisir.

 

Elle se débattait pour atteindre ma culotte mais peine perdue, j'étais trop éloigné de sa main.

Après une quinzaine de minutes de manœuvre je relâchais la pression et titillais de nouveau ses tétons l'un après l'autre. Sa respiration s'accéléra. Des frissons parcouraient son corps tout entier.

 

Je sortis mes deux doigts d'expert en gynécologie et ajoutai l'index.

J'ai de nouveau bercé son nombril de délicates caresses avec ma langue le temps de lui permettre de descendre de son nuage.

Elle me regarda et m'adressa un large sourire. Sourire que je lui rendis à mon tour.

On se fixait encore quand je dirigeais mes trois entrepreneurs vers sa Fontaine de Jouvence.

On se fixait encore quand mes trois doigts la pénétrèrent lentement. Régina souleva son bassin au-dessus de la table en poussant un grand gémissement. Je les fis sortir et les fis entrer de nouveau. J’astiquais de nouveau...

 

J’astiquais de nouveau les parois de sa grotte, tournoyais les doigts dans tous les sens, je n’épargnais pas la partie nord de sa fontaine où se logeait son point G, je le grattais vigoureusement, furieusement et frénétiquement. J'avais augmenté la fréquence de tous les gestes, les entrées et venues comment les rotations et tantôt je caressais son petit bouton noir, tantôt je le titillais.

Quelques instants plus tard je sentis sa grotte se contracter et la vis soulever son dos au-dessus de la table dans une série de gémissements qui emplissait la pièce. Elle vibrait de tout son être. Je compris à ce moment-là qu'elle était en pleine jouissance. Ce qu'elle confirma par un jet de liquide incolore et plus ou moins visqueux. Je l'avais déjà vu jouir des tas de fois auparavant, mais cette fois si c'était différent, ce jet de Cyprine dont elle m'avait aspergé le ventre c'était nouveau.

Elle était essoufflée et tentait de reprendre son souffle, mais son corps vibrait pour autant. Je restais inerte entre ses jambes en observant la scène quelle me présentait.

 

Il faut battre le fer quand il est chaud dit-on, et j'étais décidé à lui faire dépasser le septième ciel. Je m'introduis de nouveau en elle à son grand étonnement, elle faillit sortir ses yeux de leurs orbites. À son dernier coup d'œil j'avais encore ma culotte, j'avais profité de son moment de jubilation pour l'enlever et le jeter sur le lit.

 

Je me suis retiré et la pénétra d'un coup sec, ce qui lui fit murmurer mon nom "Edward". Dans son antre chaud et humide je me sentais demi-dieu, je possédais à la fois son corps et son esprit. Cette sensation m'envoya planer. Sa grotte était bien étroite et pleine de délices

Je l'agrippai au niveau de la hanche et commençais mes mouvements lents de vas et viens. Elle répondait à mes coups car elle se balançait pour venir à la rencontre de mon bassin, ce qui augmentait la profondeur de ma pénétration. Ses fesses cognaient mes cuisses et sa paire de seins allait et venait sur sa poitrine comme si deux forces opposées c'en était emparées. La vue de leurs mouvements augmentait encore plus sur elle. La fréquence et l'intensité de mes coups s'étaient décuplées. Je la tamponnais brutalement et sauvagement comme un homme des cavernes.

 

Je soulevai ses jambes et les déposai de part et d'autres de mes épaules. Le jeu de jambes repris de plus bel.

 

Plus je la tamponnais plus elle gémissait. Les " OUI " et les " Edward " fusaient de partout pour remplir la chambre. Je la pénétrais, me retirais et y retournais. Je limais les parois de sa grotte. Je balançais des reins de droite à gauche et vice versa.  Il m'arrivait de monter sur la pointe des pieds ou de me rabaisser en plissant les genoux. J'astiquais chaque centimètre de ses parois, la tamponnais comme bon lui semble. Je contournais sa cuisse avec mon bras et saisis son clitoris sur lequel je faisais pression en le caressant. Je le poussais vers le haut et le ramenais vers le bas en faisant des vas et viens. Mes coups n’avaient pas perdu de leur intensité.

 

Au bout de quelques minutes, je sentis de nouvelles contractions en elle. Elle jouissait de nouveau. Son orgasme était si puissant qu'elle décupla mon plaisir et me fit jouir à mon tour. Je m'allongeais sur elle et lui embrassais le cou pendant que je me déversais en elle. Elle me serra fortement au point de m'étouffer.

 

Nos lèvres partirent dans un nouveau délire de Plaisir. Les bécots se succédaient au point de ne pas en finir.

Je couvrais son visage de baiser, et léchait ses tétons.

C'était loin d'être fini

Quelques instants après mon Marteau étaient de nouveau d'attaque. Je la pénétrais encore.

 

Moi : viens par-là toi.

 

Je la redressai et la soulevai de la table sur laquelle il ne restait plus rien. On atterrit ensemble sur lit en plein rire.

Et c'était parti pour un deuxième tour.

On enchaînait les positions Kamasutra, cowgirl, chaise, pendule rodéo...bref on a tout notre temps et on essaya ce jour-là " la levrette " par laquelle notre partie de jeu de jambes s'était achevée. Position dont elle avait toujours parlé. Je l'avais rassuré en lui demandant de me faire confiance.

Je l'avais pénétré peu à peu et arrivé à la moitié du chemin je terminais d'un coup sec. Elle avait gémi plus fort qu'avant. Je l'avais agrippé aux épaules d'une main et de l'autre j'avais saisi ses cheveux. Je cognais, elle s'en allait, je la ramenais en la tirant vers moi et cognait de nouveau. Je limais sa grotte ainsi et au bout de cinq minutes elle avait joui de nouveau et les vibrations ne manquait pas à l'appel. Elle se tortillait telle une chenille alors que j'étais encore en elle

Je mis un peu plus longtemps avant de me déverser en elle dans un grand cri. Elle avait tellement joui que je m'étais perdu dans mes décomptes.

On s'écroula systématiquement sur le lit l'un à côté de l'autre. On a bien mérité un peu de repos après une heure trente minutes de bataille sexuelle. Elle avait posé sa tête sur mon torse et caressait mon pubis de son ongle qu’elle portait sur l'index. Au même moment j'avais ses seins que je caressais légèrement entre mes mains. On était ainsi pendant plusieurs minutes sans qu'aucun n'ouvre la bouche

 

Régina : Au fait tu avais raison

Moi : à propos de quoi?

Régina : j'ai tout simulé depuis la classe

Moi : La pétasse. (En lui faisant une petite tape sur le côté de ses fesses) Je savais.

Régina : C'est la fin qui justifie les moyens (dit-elle en caressant mon troisième pied de 19 centimètres qui s'était écroulé de fatigue)

 

On s'éclata de rire, chacun bousculant l'autre.

 

Régina : Je vais uriner je reviens. (En me laissant un smack sur les lèvres)

Moi : Moi aussi (dis-je en souriant)

 

Une minute après son entrée dans la salle de bain, je la rejoignis.Qui sait s'il va se passer autre chose sous la douche.

J'avais pensé à lui proposer de rester jusqu'au lendemain soir puisque demain samedi, la tante voyagent sur l'intérieur du pays.

C'est ainsi que j'ai débuté mes congés de fin d'année. Pour ma part, le père Noël est déjà là, entrain de m'embrasser sous l'eau fraîche de la douche...

 

~ End ~

Ecrit par Privas_Winner

 

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