UN FANTASME DE CYPRINE (Ep 1)

UN FANTASME DE CYPRINE (Ep 1) | AfroRaise

Mon nom C'est Edward, je suis en dernière année de master en communication.Une branche que j'ai délibérément choisie avec le soutien de ma tante et mon oncle. Je viens de taper mes vingt-trois ans il y a 2 mois, rien de grand, juste un dîner avec la famille.

Mes parents je ne les connais pas, d’après ce qu'on m'a dit ils n'ont pas survécu au Crash de l'avion qui les ramenait de voyage à l'époque, donc depuis mes 10 ans j'habite chez ma tante, Rachelle était son nom, et son mari David. Ils n'étaient pas riches mais on avait toujours plus que le minimum nécessaire.

 

Ma tante eut deux filles avec oncle David, deux très belles filles plus âgées que moi, la première de cinq ans et la deuxième de trois ans. Et même si c'était mes cousines il m'arrive parfois de fantasmer sur elles. Tellement elles étaient jolies et avaient de ces formes... Elles avaient tout pour plaire, le genre de meuf avec qui on n'aurait pas honte de s'exhiber en public. Je vous cache nos petits jeux coquins en âge pubère, rien de sérieux je vous rassure, de plus on ne savait pasgrand-chose.

On était vraiment proche, je dirais qu'on formait une vraie famille malgré le fait que je ne soispas leur vrai fils, ils me traitaient comme tel et j'étais vraiment heureux, comme on le dit ils étaient là meilleure chose qu'il me soit arrivée.

Clara et Sandra, mes deux cousines ont pris leur envol il y a un mois pour la poursuite de leurs études. Je ne dirais pas que je suis jaloux, loin de là puisque j'ai de plein gré décidé de rester au pays. Mes amis, ma vie, ma chambre et autres bref...Je n’étais pas prêt de m'en séparer, en plus je sentais que j'allais m'y plaire plus maintenant qu'elles seront plus là, j'aurais la maison grande pour moi tout seul...

J’étais content pour elles mais je me sentais de temps en temps seul, notre complicité me manquait. On était plus proche que leurs parents le pensaient, on n’avait pas de secret les uns pour les autres. On se soutenait mutuellement, on était là les un pour les autres, et depuis mon arrivée on ne s’était jamais disputé, au grand jamais. On se racontait nos histoires coquines. Bien que je sois le moins âgé, je jouais plus souvent le rôle de grand frère, j'étais sollicité pour mes conseils et mes points de vue peu communs.

 

On avait pas de gêne à se promener nu les un devant les autres en l'absence des parents, mais je le faisais moins qu'elles, puisqu'à chaque fois qu'elles se mettaient à nues, mon troisième pied ne restait pas indifférent et elles s'en moquaient. Ah les petites pestes si seulement elles savaient à quoi je pensais...  Elles l'imaginaient sûrement puisque je ne leurcachais rien de mes pensées les plus sombres, j'étais même leur prof en la matière. Oui la matière, celle-là que vous imaginez.

Bref c'était mes cousines et elles me manquaient vachement. La bonne nouvelle, c'est que mon bonhomme se met moins en érection maintenant.

 

La mauvaise est que toutes les corvées de cette grande maison à 2 garages sont tombées sur mes bras et je n’avais pas d'autres choix, heureusement je n’étais pas paresseux.

Du haut de mes 1m75 je faisais 70 kilos ou plus je sais plus, je n’étais pas gras ni maigrichon. J'avais un corps d'athlète dont j'étais fier, mais je n'en vante point les caractéristiques.

Vous l'avez deviné je fais du sport pendant mes temps libres, je ne joue pas au foot ni ces machins-là, le fitness est mon préféré, légèrement différent de la musculation. Mon seul jeu c'est le piano. Mon oncle m’en avait offert un lors de mon vingtième anniversaire. Depuis, presque chaque jour je suis dessus. Je n’étais pas mauvais je le reconnais mais je manque sévèrement de pratique et de cours.

 

J'étais en pleine communication avec les filles quand j'entendis le klaxon retentir au portail. Je courus ouvrir et reviens continuer. Il était 22h et à cette heure il n'y a plus à cuisiner. Ils ont pris un truc en rentrant. Et en remontant, j'ai pris ma part dans du jetable.

J'allais au lit vers minuit après avoir discuté pendant 3 heures de temps avec les filles. C'était devenu mon quotidien et je ne m’enlassais jamais.

 

J'avais l'habitude de me réveiller en cours de nuit pour uriner, mais cette fois je m'étais réveillé 3 fois de suite.

 

J'oubliais de vous dire que je n’ai pas de copine ou de petite amie comme la plupart de mes collègues de classe. Mais j'ai une amie, une meilleure amie si je peux le dire ainsi. On est plutôt très proche. Regina était son nom. On a fait le cours primaire ensemble et le heureux hasard a fait qu'on soit ensemble dans la même université et la même classe. Une vraie bombasse celle-là, mais je l'adore ainsi. C'est le genre de meilleure amie que vous pouvez prendre sous votre couette et monter au septième, si vous voyez ce que je veux dire. Il y a quelque temps on avait failli s'engager mais échec total, et depuis on en a plus parlé et je trouve que c'est mieux ainsi. Elle et moi, nous nous sommes plutôt pas mal rapprochés depuis lors. Je ne vous cache pas qu'on a couché une fois ou deux. Trois fois pour être exact.  On était presque un couple. On avait même dépassé ce stade. On faisait tout ensemble, on allait partout ensemble mais chacun aimait trop sa liberté pour s'engager. Et donc on en est là, à passer les bons et mauvais moments ensemble dans le ‘célibatarisme’ le plus complet. Nous sommes dans le dernier mois de l'année. Ce matin le soleil était de bonne heure haut dans le ciel, pourtant la chaleur de cette journée n'était pas du tout humide comme je l'espérais. L'impatience me tenait en étau, ensuite vint une excitation que j'avais du mal à gérer...

 

La nuit a été longue vraiment longue, si longue que je suppliais mon corps de s'affaisser dans le sommeil, Dès 5h30 j'étais déjà debout 30 minutes plus tôt qu'à l'accoutumée. La prière matinale et les travaux domestiques terminés il sonnait 6h30.

Ensuite vint mon moment le plus préféré de la journée : le sport matinal. Je mettais de la musique comme d'habitude histoire de stimuler le cerveau et le corps puis commençais. Très vite je commençais à transpirer surtout que j'enchaînais pompes abdos squatset autres. J'y étais à fond, histoire de diminuer l'excitation que j'avais emmagasiné la nuit. Ma sueur ruisselait le long de mon corps quittant mon cou se drainant le long de mes abdos pour finir aspirées pas ma culotte en coton, quelques gouttes quittaient mon visage pour s'écraser sur mes tétons, je ne vous laisserai pas sans savoir que le bas de mon caleçon était mouillé non à cause de la sueur mais de la chaleur qui y renait. Je bus quelques gorgées d'eau puis repris mon sport avec plus d'ardeur. Je concluais la séance avec une série de 100 pompes, 100 abdos, 100 gonflexes et 50 squats. Je m'essuyais avec une serviette que j'ai mis de côté puis me mirais ; j'étais étonné du résultat que je voyais, je passais la main sur mon corps, ce corps d'athlète, caressait les creux des abdos bien dessinés puis tapotait mes biceps, que dire ? Un an que doublé l'ardeur de mes exercices, c'était waouh. L'envie me reprenait de recommencer avec mes pompes mais mon horloge m'indiquait 8h00, pile dans les temps.

Je m'étais connecté pour voir les messages en attente et recevoir quelques commandes, je fais quelques activités dont le commerce, histoire de mettre un peu d'argent de côté. J'en profitais pour confirmer le rendez-vous.

 

J'étais super excité, j'avais l'impression que c'était un jour nouveau pour moi. Je fis quelques nettoyages et j'eus remit en place ce qui ne l'était pas, j'avais même changé le drap et fais place sur le mur ; ce qui devait aller dans l'armoire alla dans l'armoire et ce qui devait aller sous le lit aussi regagnait sa place. J'aspergeais le lit d'un parfum bien odorant ainsi que quelques coins spécifiques de la chambre. Puis avant d'aller me doucher j'ouvrais la porte pour laisser sortir la chaleur et rafraîchir un temps soit peu la pièce. Je ne fis pas plus de 15 minutes comme d'habitude. Je me précipitais dans la chambre...hmmm quel parfum, en inspirant profondément.... Puis mettais rapidement ma culotte type boxer me serrant bien la taille et me laissant encore plus séduisant. Coups de peignes par ici coups de peignes par-là, cheveux impeccables. Je me baissais pour ramasser le peigne que j'ai fait tomber puis ding-dong je restais figé mon rythme cardiaque s'accélérait et aussi une sueur froide me perlait le front. Qui ça peut être à cette heure-ci ? Il reste une dizaine de minutes avant que ne sonne l'heure du rendez-vous, Pourvu que mon programme ne parte pas en bourrique. Avec mon courage je m'avançais vers le portail, et sans demander qui est-ce j'ouvris. J'étais figé de plus bel, j'avais l'impression de voir un ange, cela me paressait telle une révélation, c'était divin, elle était impeccable Je n’avais pas les mots assez lourds pour la qualifier, j'étais au bord de l'exaltation quelques instants après je repris mes esprits après les avoir perdu laconiquement.

 

Elle : un souci ?

Moi : non non

Elle : alors quoi ?

Moi : juste que je ne t’attendais pas de sitôt, mais vas-y entre...

 

Je pouvais lire de l'excitation et du désir dans son regard. Tellement ses yeux en brillaient. Sans un mot de plus elle se dirigeait vers la chambre. Mon envie s'était décuplée. Quelques pas non loin du portail je l’arrêtai en lui mettant une main sur son épaule, elle se tourna lentement mais avec une telle sensualité. Sans avoir le temps de réfléchir je pris ses lèvres entre les miennes, d'habitude j'y allais en douceur mais là c'était un baiser fougueux, plein de désir et de passion. Elle répondit à ce baiser en resserrant plus son étreinte. Elle ne tarda pas à passer ses mains sur mes fesses, elle aimait faire ça la petite coquine. Sa main y demeura un moment puis elle remontait le long de mon dos. Je sentis des frissons me parcourir je n’avais pas de vêtements sur le haut du corps. Je ne tentais aucun autre geste, j'étais emporté par ce baiser et cette sensation de jamais ressenti. Je sentais qu'elle se laissait emportée autant que moi. Ensuite elle me poussa, comme d'habitude c'est elle qui avait mis fin à ce moment magique, On était sur place environ 5 minutes, ça m'a fait l'effet d'une bombe ; c'était trop court. On était dans les bras de l'un et de l'autre le temps de se remettre dans la réalité, puis continuait la marche vers ma chambre. Une marche qui m'a paru interminable. Durant tout le long du chemin mon regard ne quittait pas son derrière, je ne savais pas si elle les balançait plus exprès mais elle m'offrait un spectacle appétissant, je me disais waouh quel cul* je manquais de cogner mes orteils contre les marches conduisant à ma chambre, je me ressaisis puis entrais après elle...

~ A suivre ~

Ecrit par Privas_Winner

 

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