JE SUIS DEVENU NYMPHOMANE (Ep 6)

C'était la bite de Marcel...
J'étais en partie heureuse qu'il ne soit pas reparti mais il aurait dû m'avertir avant de me pénétrer ainsi… j'ai failli avoir une déchirure… !!! Mais après quelque vas et viens je commençais à suivre la danse.
- Désoler d’entrer sans frapper !
- Si tu es un dur à cuire alors ma porte sera toujours ouverte à toi.
- Tu pourrais écarter un peu tes jambes ? Ne t’inquiète pas je peux facilement te retenir ; tu ne trébucheras pas.
C'est ainsi que j'étais debout pencher vers l'avant sans aucun support avec mes mains posé sur les genoux en me faisant pilonner par un géant. Les coups de reins étaient bien précis je dirai régler parce qu'il y avait toujours la même tonalité les mêmes éclaboussures sur mes fesses et la même vitesse. J'ai senti qu'il adorait le son qu’émettait mes fesses …il ne me baisait plus verticalement mais il essayait de descendre et de relever mes fesses à chaque coup de reins. Il continuait ainsi durant au moins cinq minutes !!!
- Tu adores ça ???
- Ohhh oui Marcel de Dubaï.
- Je t'ai posé une question salope.
- Tu aimes ma bite ???
- Oui Marcel baise moi, défonce-moi, fais de moi ce que tu veux fais-moi halluciné.
- Tu seras bientôt servi ce n'est que les présentations tout d'abord.
- Et enfin un homme. Un peu plus rapide s'il te plaît un peu plus rapide.
Ça sortait et rentrait avec une telle faciliter et une telle vitesse on dirait un vélo qu'on pédale à toute vitesse durant près de cinq minutes. Je n'arrivais plus à tenir dans cette position et il l'a remarqué parce que mes pieds ne tenaient plus debout... Il se retire me laissant le temps de reprendre mes souffles et je me retourne. C'était énorme sa bite j'étais étonnée de moi-même. Comment j'ai pu encaisser ça ??? J'ai reconnu ma gourmandise ! J'étais insaisissable.
- Alors tu me trouve comment ?
- Il n’y a même pas de mot pour te décrire.
- Sûr ?? A voir l'allure à laquelle ta chatte avale ma bite, je suis étonné et je suis sûr que tu as déjà vu plus monstrueux que moi.
- Non ta bite est la 3ème que je vois de toute ma vie.
- Difficile à croire mais bon.
Je m’agenouille en faisant face à sa verge qui bougeait toute seule ; c'était amusant on dirait qu'il me fait appel .... Je passais ma main sur ses couilles les caressant avec délicatesse et sa bite était toujours en mouvement.
- Waoooo tu me fais de l’effet.
- Je sais mon chéri j'aime voir ta bite remuée toute seule.
Je caressais ses couilles avec délicatesse avant de prolonger ma route, je faisais passer mes doigts en dessous de sa bite jusqu'arriver sur la tête de sa bite je soulevais sa bite pour voir les nerfs qui étaient bien tracé. C'était magique une bite pleine de fibre. Je la saisie dans mes mains à peine le pouce touchait le reste de mes doigts en faisant le contour il restait juste quelque centimètre pour que sa taille soit égale à mon bras.... Je lui donnais un baisé d'abord sur la tête de sa bite c'était vraiment brûlant on dirait un volcan. Je la malaxe avec mes deux mains, je la caresse en prenant tout mon temps avant de sucer le bout de cette bite énorme. Je suçais la tête avant de prendre le bout de mes lèvres pour nettoyer l’intérieur et l’ouverture de sa bite ; ça lui faisait flipper. Je jouais encore plus avec le bout de sa bite... En caressant toujours sa bite ... *Je lui faisais un enchaînement à plusieurs reprises. _Sucer la tête, _passé ma langue au bout, _sucé tout le bas de sa bite _avant de le sucer au complet toujours en lui caressant les couilles après les avoirs sucé*. Je le voyais trembler et gémir ce qui m’amusait. Les conséquences de mon jeu absurde était une éclaboussure de son sperme dans ma gorge sans m'avertir. Je voulais me dégager mais il bloquait ma tête et enfouis sa bite au fond de ma gorge pour tout déverser impossible de recracher tout était bien rentrée.... Il me baisait la gorge comme si c'était une chatte ; ça a au moins pris 30 secondes avant de me lâcher. Je me suis relevée et me mis à marrer.
- Oups ........c’est bien ...mais qu'est-ce qui te fait rire autant ???
- Ta tête quand je touchais tes testicules...c’est votre point faible quoi ??
- Ça dépend de comment on te touche d'autre sont là à te presser les couilles comme un citron dans ses cas ça n'a aucun effet. Mais si on te la caresse comme tu l’as fait avec lenteur sa procure quelque chose de magique tu ne peux pas savoir surtout juste en bas des testicules il y a une fibre là-bas .... C’est un secret que je te livre ne vas pas raconter ça c’est comme si je livrais le Secret des hommes... en bas des couilles il y a une fibre qui apparaît quand on est excité par les couilles et ça atteins le trou de cul. Si tu caresses cette fibre (hummm !!!!)) je ne te dis même pas (le goût de chaaaaa) mais pardon ne l’applique pas sur moi ni sur Daniel d'accord ??
- Oooook, il faudrait que toi et moi on cause un peu plus mais avant de sortir de cette douche tu dois me remplir de ton sperme car je vois qu'il ne dort pas encore.
- Ok comme tu veux mais ton derrière lah j'ai peur de le soulever c’est énorme pour une fille comme toi.
- Beau parleur tu as déjà vu pire.
- Ça te dit si je te soulève ???
- Service libre.
- Ok.
Il me demandait de sauter vers lui en agrippant mes bras au tour de son cou ; ce que je fis. Je me retrouvais dans ses bras avec les jambes au-dessus de ses bras et ses mains posées sur mes fesses et sans rien dire je passais ma main droite derrière pour pouvoir saisir la verge et me l’introduire mais mes fesses bloquaient la route. Je ramenais ma main qui passait entre nos deux corps et je saisi. Jouant avec le bout de ma chatte puis l’introduisit juste le bout et il se chargeait de rapprocher mon corps jusqu'à ce qu'il n’y ait plus aucun écart entre nous.
- Ahhhhhhhh (extaseeeeeee…… !!!!!) Oui.
Je tremblais, la pénétration était profonde je pouvais le sentir dans mon ventre.
- Vraiment tu m'étonne tu as avalé toute ma bite.
- Tais-toi et baise moi.
Il prenait mes fesses et les heurtaient à son bassin avant avec lenteur mais ma voix était déjà cassée. Comment expliquer que j'ai vachement mal mais qu'il doit accélérer ?
- J’ai j'ai j'ai.........laisse accélère.
On faisait vraiment du bruit commençant par le son que faisaient mes fesses quand elles lui cognaient ... Nos gémissements ; on était vraiment emporté.
- Tu as ça dans ta chambre le paludisme ne peut jamais te menacer.
J'avais ma tête en arrière.
- Oui baise moi comme si tu voulais ma mort.
- Je vais te défoncer à fond.
- Tu es nul je ne sens rien du tout à part des chatouillements.
Sur ses paroles il laissait ses bras glisser au niveau de mes jambes... j'étais maintenant un peu en bas mes bras ne pouvais plus le tenir il m'a fallu l’apport de mes deux mains ; j'ai cru qu'il allait me laisser tomber puis c’est reparti. C'était rapide chaque coup de rein était puissant il n'avait plus besoin de faire beaucoup d'effort quand il me pénètre mon corps allait et revenait ; je balançais toute seule... Il était tellement rapide j'ai regretté de l'avoir provoqué. J'ai fini par lâcher mais il a su me retenir et me poser à terre... on dirait un lion qui veut dévorer sa proie.
- Marcel c’est bon je retire ce que j'ai dit.
Il n’écoutait rien, il prenait mes deux jambes qu'il soulevait et collait en l'air avant de les poser sur son épaule gauche puis c’est reparti il cassait des pompes sur moi à une vitesse et puissance pas possible. Je criais de toutes mes forces en lui tirant les cheveux. Après 08 à 10min à terre, il a commencé par ralentir je ne pouvais même plus dire un mot. J'étais étaler à terre.
- Bon on se retrouve en bas.
- Je lui faisais un signe de la tête.
Il était épuisé mais il jouait le dur devant moi....... Tchippppp
La journée Commençait bien pour moi. J'essaie de tout arranger avant de descendre en bas avec une serviette enroulée sur mon corps. Plus besoin de me cacher pour qui que ce soit. En descendant j'écoutais du bruit au salon c'était Daniel et Marcel. J'essayais de marché sur la pointe des pieds pour écouter leur discussion :
- Marcel : Man franchement la meuf est une bombe !
- Daniel : Tu crois que je t'ai appelé en renfort pour une petite adolescente ?
- Marcel : Tu as les pilules ?
- Daniel : Ouais c’est la raison même pour laquelle je suis ressortie ; j'ai acheté 04 *Djantavi* (lion) chez le vendeur à l’autre bout de la rue.
- Marcel : Et ça travail ?? Fallait acheter du viagra à la pharmacie.
- Daniel : Il m'a confirmé que c’est ça lui-même il utilise ; on va essayer voir.
- Marcel : Et pour m'en procurer prochainement je l’indique comment ?
- Daniel : Va chez les revendeurs ambulants et tu dis ; écoute-moi bien... tu dis que tu veux acheter *01 ou 02 Djantavi pour traverser la forêt*... et c’est tout.
- Marcel : Ok noter.
- Daniel : Il faut qu’on les prenne en même temps, on a dit 01 mais on va en prendre 02.
J'étais vraiment curieuse de savoir ce que ce fameux *Djantavi* peut faire. Je commençais à traîner les pieds à terre pour qu'ils sentent mon arrivé.
- Daniel : Man quand on te demande la définition du mot sexy tu sais ce que ça veut dire ??
- Marcel : Pas besoin de me le dire voilà la définition directe, c’est Nela (en la montrant du doigt).
- Nela : Que des flatteries !
- Marcel : Nous on dit toujours ce qu’on voit on n’invente rien.
- Nela : Ok merci.
- Daniel : Nela voilà Marcel et Marcel voilà Nela celle dont je t'ai parler au téléphone.
- Nela : On a déjà même eu a causé quand t'étais pas là.
- Daniel : Bon d’accord, tu as déjà fini ta pizza ? J'ai acheté tout ce qui faudra pour tout une journée complète.
- Nela : Ok moi je retourne à la piscine je vous laisse papoter entre vous.
Avec mon regard et ma démarche c'était déjà un SOS pour eux.
J'allais me poser au bord de la piscine avec les pieds dans l'eau. Je me demandais quand est-ce que ses deux vont-ils décidé à passer en action ??
J'étais toujours au top de ma forme ...on était déjà dans l'après-midi il faudrait qu’on prenne assez de temps avant que je ne rentre à la maison. J'étais là à remué mes pieds dans l'eau que je voyais Daniel sauté dans l'eau avec des éclaboussures d'eau qui me heurtaient le visage. Il était parti au fond j'essayais de distingués ses mouvements dans l'eau mais je ne voyais carrément rien. J'ai senti comme une pression sur ma tête et mon dos c'était la présence de quelqu'un. Je me retournais et c'était Marcel. Il était tout nu avec sa bite bien tendu qui était au-dessus de ma tête... Le soleil me frappait tellement au visage que je ne pouvais pas voir son visage juste sa bite qui m'offrait un peu d'ombre... Il quittait derrière moi pour se placer sur mon côté droit et s’abaisse à un niveau où sa bite atteignait mes lèvres. J'avais déjà compris le message j'écartais doucement ma bouche pour l'accueillir avec tendresse. Je commençais à prendre du goût a le sucé. Je voulais sortir mes pieds de l’eau pour me mettre à genoux et bien prendre soin de sa bite mais j'ai été bloquée par des mains mouillées c'était Daniel il caressait mes cuisses et m’écartait les jambes ... Il avait déjà une vue sur ma chatte puisque j'étais juste en serviette sans rien dessous... Il prenait d'abord son pouce pour caresser le haut de ma chatte... il caressait mon clitoris ça augmentait mon désir de bien dévoré la bite de Marcel. Je saisis la bite de Marcel par ma main droite pour l'approcher encore plus pour avoir accès à ses couilles ... Pendant ce temps j'écartais bien les jambes à Daniel qui continuait à me caresser la chatte... il voulait me lécher mais la façon dont j'étais assise ne lui permettait pas il continuait ses caresses toujours étant dans l'eau .... Je voulais sentir ses lèvres sur ma chatte alors je m'allonge sur le dos en tirant la bite de Marcel vers moi il a compris et s’est mis à genoux avec sa bite étant toujours dans ma bouche... il se sert de son dos pour me cacher les rayons de soleil qui me dérangeait… je posais mes pieds au bord de la piscine comme une femme qui allait accoucher pour permettre à Daniel de me lécher ... Il a compris le message et me tirait vers lui puis posait mes deux jambes sur les épaules respectifs ainsi, ses lèvres embrassaient ma chatte comme si c'était deux lèvres qui s'embrassaient. J'avais toujours la bite de Marcel que je léchais avec ardeur...
J'avais donc deux énormes bites à ma disposition.
Daniel commençait par prendre sa langue pour me faire un balayage complet... Ma serviette c'était déroulé toute seule. J'avais le bout de mes seins qui étaient bien sorti et dure car le degré d’excitation en moi était énorme. Je prends ma main droite pour tenir les couilles de Marcel pour bien enfoncé sa bite dans ma gorge et ma main gauche pour caresser les cheveux de Daniel.
A suivre…
Ecrit par Francis Kev