MA PROF DE LITTERATURE

MA PROF DE LITTERATURE | AfroRaise

 

Je ne sais pas si au cours de votre cursus scolaire, ça vous est déjà arrivé d'avoir du béguin pour un de vos professeurs. Pour les filles, je sais que c'est plus envisageable mais pour nous garçons, ça ne doit pas être si fréquent que ça. Si quelqu'un est dans mon cas, prière de me faire signe pour qu'on en parle car je n'ai personne avec qui en parler. Mes camarades me lanceraient des vannes à ne pas en finir s'ils l'apprenaient et j'aurais droit à la fessée de ma vie si quelqu'un venait à le souffler à l'oreille de mon père. Je garde pour moi seul ce lourd secret. Pour l'ado que je suis, je n'ai pas d'autres mots pour exprimer que je ressens. Mon cœur qui bat plus que la normale quand elle rentre dans la salle, penser à elle quand je suis à la maison et même de rêver d'elle. S'il y a d'autres expressions pour dire ce que je ressens, je serais ravi de les connaître mais là je me contente de dire que je suis amoureux de ma prof de littérature, tout simplement.

                                     ***

Je m'appelle Yvan, j'ai dix-sept ans et je suis élève en terminale D dans un lycée public d'une ville togolaise. La majorité des apprenants des séries scientifiques ne portent pas grand intérêt aux matières littéraires mais moi, je m'y intéresse à fond. Il y a largement de quoi me motiver pour dire vrai ; c'est-à-dire la chargée du cours.

 

Ma vie lycéenne était tout à fait banale jusqu'à ce fameux lundi de janvier. Monsieur JOHNSON, le prof qui nous dispensait le cours depuis la rentrée décéda suite à une courte maladie un peu avant les congés de Noël. Concrètement, personne ne sait ce qui lui est arrivé. Personne n'est malheureusement indispensable dans ce bas-monde, alors malgré le drame, la vie devait continuer son cours et nous aussi on devait poursuivre notre formation. Les profs de littérature étaient déjà en manque dans notre établissement et cette perte créait encore plus le fossé. C'est là que Mme LARE fut mutée dans notre lycée. Elle a donc pour mission de reprendre les classes de feu monsieur JOHNSON.

 

Tout le monde savait qu'on nous enverrait un nouveau professeur mais personne ne connaissait qui c'était. Notre salle est un peu détachée des autres bâtiments puisque c'est une nouvelle construction et on avait une certaine liberté de ne pas être importuné à tout moment par les enseignants des classes mitoyens. On était de sacrés bavards nous, mais l'administration ne pouvait en mesurer l'étendue.

 

Malheureusement, ce lundi on a été tous surpris par l'arrivée du censeur. Notre guetteur habituel était lui aussi occupé. La classe qui était bruyante comme le marché d'Hédjranawoé les jeudis se transforma soudain en un cimetière en plein minuit où on pouvait même entendre les fourmis passer, comme le disait notre instituteur au CM2. Moi j'étais derrière, occupé à jouer à un jeu vidéo sur la console d'un camarade. J'étais comme déconnecté de la réalité; tellement c'était intéressant. C'est la voix grave du censeur, qui s'était arrêté juste à l'entrée de la classe qui me ramena sur terre.

 

-Mais dis donc. Ça jacasse par ici ce beau matin! En tant qu'élèves en classe d'examen, vous ne pouvez pas vous occuper à traiter ensemble des exercices? Et où est votre major?

 

Le gars leva la main, tout aussi surpris par les évènements aussi car il était occupé à s'amouracher derrière loin de son banc avec Chloé, la plus belle fille de la classe et son acolyte Mawussé.

 

- Censeur: donc au lieu de canaliser tes camarades, toi aussi tu y contribues. Que chacun regagne sa place immédiatement.

 

Avec des pas lourds, chacun se lève pour rentrer chez lui.

 

 -C'est grave ça, pour des élèves de terminale. Vous êtes punis pour toute la semaine. Demain matin, déjà à six heures, je vous veux ici pour balayer la cour de l'établissement. Si quelqu'un ose manquer à l'appel, il aura de sérieux problèmes avec moi.

 

Jusque-là, il n'a pas encore vraiment intégré la salle et personne ne savait qu'il était accompagné. Il fit quelques pas et on voit une jeune dame très élégante  avec un petit cartable en main juste derrière lui.

 

-Je vous annonçais la semaine dernière qu'on trouverait un autre enseignant pour remplacer M. JOHNSON. Eh bien la voici. Je vous présente Mme LARE, votre nouveau professeur de français.

 

Et d'une voix si fine et douce, elle nous salua:

 

-Bonjour tout le monde.

 

Et on répondit tous en chœur:

 

-Bonjour Madame.

 

-Censeur (s'adressant à la dame): Madame LARE, je vous laisse alors. Encore une fois, bonne arrivée parmi nous.

 

-Elle: merci monsieur le censeur.

 

-Censeur: s'ils vous embêtent ces voyous-là, n'hésitez surtout pas à m'en parler.

 

(Se tournant maintenant vers nous): Demain, je vous attends tous à six heures devant mon bureau.

 

Il s'en alla enfin. Tout le monde poussa un ouf de soulagement, tellement la pression était énorme. Mais moi, depuis que cette dame a intégré la salle, je ne prêtais plus du tout attention à tout ce qui se passait dans la salle. Même les remontrances du censeur ne me suscitaient plus rien. J'avais le cœur qui battait très fort et les yeux rivés sur elle, en scrutant ses faits et gestes à la loupe. De toute ma vie, aucune fille ne m'a fait autant d'effet sauf peut-être Rihanna quand je regarde ses clips à la télé ; c'est mon plus grand fantasme. À part elle, je trouvais les autres filles assez quelconques. La seule que j'ai embrassée jusque-là, je l'ai fait parce qu'on était à une soirée et je voulais juste impressionner les autres. A part ça, je n'avais que deux passions dans la vie: les mathématiques et les jeux vidéos. Je pouvais même faire la série C si je le voulais mais je voulais juste pas m'entourer de petits geeks qui ne pensent qu'à bosser. Moi j'aime beaucoup m'amuser.

 

Ne nous dispersons pas. Revenons à la belle créature que j'avais sous mes yeux. Elle était vêtue d'un tailleur noir et d'une chemise grise qu'elle fourre dans le pantalon, de moyens talons aiguilles qui complétaient  le look. Avec une svelte forme, la peau claire, un visage assez fin orné par de petits verres médicaux et sa frange, elle ressemblait à un top modèle entrain de défiler sur un podium. Elle avait l'air de flotter dans ses vêtements, mais ça lui allait quand-même très bien. Je la regardais sortir gracieusement des documents de son cartable. Comme dans un film, je regardais tout ce qu'elle faisait au ralenti. Elle passa une main dans ses cheveux et s'adressa maintenant à la classe tout en marchant:

 

-Bonjour la classe. Comme le censeur vient de le dire, je suis Catherine LARE, votre nouveau professeur de littérature.  Vous pouvez m'appeler Mme Catherine si vous voulez, ça ne me dérange pas. Je n'ai pas de règle particulière, juste le respect mutuel. Du moment où vous me respectez en tant que votre enseignante, vous suivez bien le cours, vous faites les exercices de maison, je crois que tout ira bien. Si vous ne comprenez pas un aspect du cours, n'hésitez  pas à me poser des questions. Vous pouvez vous-même traiter quelques fois des sujets et je me ferai un plaisir de vous les corriger et vous apporter ma modeste contribution. Rassurez-vous, je suis très simple, parlez-moi comme si j'étais votre grande sœur. On n'a pas besoin de faire comme si on était dans un camp militaire. Je vais continuer le programme que vous avait établi votre premier enseignant. J'ai déjà lu le cahier de textes et je sais là où il s'est arrêté. Je me suis présentée, alors à votre tour. J'ai envie de vous connaître aussi.

 

Toute la classe se présenta et à chaque nom, elle faisait toujours un petit commentaire. Elle avait un certain charisme et une éloquence dans son langage  qui a tout de suite accroché la classe. Avec M. JOHNSON (paix à son âme) , le cours était tellement ennuyeux que la plupart des camarades soit somnolaient ou faisaient autre chose surtout que le français ne faisait pas partie de nos matières fondamentales. Mais là, le cours était vivant et tout le monde y participait, sauf moi qui prenait juste un plaisir fou à admirer l'enseignante en question. Sans nous en rendre compte, deux heures sont passées.

 

-Mme Catherine: à la semaine prochaine les amis. Prenez soin de traiter les exercices que je vous ai donnés Ok?

 

Sur ce, elle s'en alla. Tout le monde commença par faire les éloges de cette nouvelle prof. Si ça ne tenait qu'à moi, elle pouvait même y passer toute la journée. Je ressentis un tel vide en moi à son départ. Toute la semaine, je n'ai fait qu'espérer la revoir le lundi prochain. J'ai traité ses exercices le même jour quand je suis rentré. Je trouvais maintenant que deux heures de français de toute la semaine était trop insuffisant, tellement je voulais qu'elle revienne. Au cours de la semaine, je l'ai juste revu une fois au loin sur la cour. Le week-end m'a paru comme une éternité. Moi qui d'habitude traîne souvent au lit, je me suis réveillé de bonne heure, j'ai repassé ma tenue scolaire et ciré mes chaussures comme si je me rendais à un rencard.

 

Je suis même allé au tableau à la surprise générale pour aller traiter cet exercice. Je n'avais plus pour matière préférée les maths mais le français. J'ai pour la première fois depuis le début de l'année, ouvert le document de français que mon père m'a acheté et je me suis même inscrit à la bibliothèque, juste pour avoir d'excellentes notes et attirer son attention. Ça a commencé par porter ses fruits, au cours de la composition du premier semestre, j'ai eu 16, la plus forte moyenne. Elle m'a beaucoup félicité et ça m'a vraiment fait chaud au cœur qu'elle me remarque enfin.

 

Pour plus attirer son attention et passer plus de temps avec elle, je lisais les célèbres romans africains et je faisais le résumé pour qu'elle le corrige. En à peine deux mois, je peux vous assurer que j'ai lu beaucoup de classiques. Je prenais aussi des sujets de dissertation ou de commentaire composé que traitais pour lui remettre. Je pensais à elle tout le temps, ça m'arrivait même de rêver d'elle quelques fois. Je ne la voyais pas simplement comme mon professeur mais aussi comme une femme. Le lundi matin, j'étais souvent de très bonne humeur à l'idée de savoir que ma dulcinée allait passer. Je faisais tout cela sans jamais oser lui déclarer ma flamme. Je me contentais juste d'apprécier le temps qu'on passait ensemble à travailler ensemble. Mais un jour, je vais finalement avoir le cran de passer ce cap.

 

C'était un vendredi, jour du début des congés de Pâques. Mes acolytes ont décidé de sécher les cours et vers dix heures, la classe étant quasi déserte, j'ai décidé de rentrer. Je longe d'habitude la longue clôture du lycée puis je vire à droite. Ce n'était pas la voie normale mais j' ai mes raccourcis à moi. Je rentre dans le von et qui je vois à quelques mètres devant moi? Mme Catherine qui était entrain de pousser son scooter sous le chaud soleil. Elle devrait certainement être en panne.  Non, il est hors de question que mon mannequin pousse une moto, je me dépêche pour aller l'aider.

 

-Moi: bonjour Madame. Puis-je vous aider?

 

-Elle: Ah Yvan. Comment tu vas? Ça me ferait plaisir. Je commence par être à bout de souffle d'ailleurs. Je ne sais pas ce qu'elle a comme panne. Elle a pourtant bien démarré. Je sors de l'établissement et quelques mètres après, elle s'arrête.

 

-Moi: peut-être la bougie mais heureusement qu'il y a un mécanicien pas très loin d'ici, je vais vous y emmener.

 

Cinq minutes après on arriva chez le mécanicien. Il a commencé par y jeter un coup d'œil mais nous a tout de suite prévenu que ça prendrait peut-être un peu de temps. Elle a donc décidé de rentrer avec un zem et revenir chercher la moto dans la soirée. Je me suis donc proposé de rester et de la lui apporter moi-même. Que ne ferait-t-on pas pour une femme? Plus précisément dans mon cas, une mignonne prof ?

 

-Elle: Ah bon? Tu risques d'être en retard à la maison.

 

-Moi: ne vous inquiétez pas madame. Ça ne me dérange pas. D'ailleurs, mon père est en voyage.

 

-Elle: Ok merci beaucoup. Tu connais la librairie sainte Thérèse je crois.

 

-Moi: oui, très bien.

 

-Elle: Ok. Il y a une villa avec des fleurs à la devanture juste en face de la librairie. Il y a un agent de sécurité au portail. Tu demandes d'après Mme Catherine et il te laissera entrer.

 

-Moi: d'accord Madame. Dès qu'il finit, je vous la ramène.

 

-Elle:  À tout à l'heure donc. Sois prudent ok?

 

-Moi: Ok.

 

Le mécanicien termina de réparer sa moto vers treize heures et fit un tour de plus d'une demi-heure soit-disant pour tester; à se demander s'il ne faisait pas plutôt le tour de la ville, ouais? Il la ramena enfin et direction chez Mme  Catherine.

 

Dès que le gardien vit la moto, il me laissa tout de suite entrer et après l'avoir garé, je suis parti la saluer. Elle était allongée sous la paillote. Elle ne pouvait pas s'offrir une baraque pareille avec son salaire d'enseignante, ça c'est certain. Soit elle a des parents riches ou si elle est mariée, son mari l'est; puisque je n'ai jamais vu de bague à son doigt. La voir si décontractée, en culotte et dans un petit t-shirt, elle avait l'air d'une adolescente.

 

-Elle: bonne arrivée Yvan.

 

-Moi: merci Madame. Comme promis, je vous ai emmener  la moto.

 

-Elle: merci. C'est très gentil de ta part.

 

-Moi: tout le plaisir était pour moi.

 

-Elle: tu t'en vas déjà?

 

-Moi: oui madame.

 

-Elle: non quand-même. Après avoir fait ce long chemin, je dois t'offrir au moins quelque chose à boire. En plus, tu dois avoir faim . J'ai préparé du couscous au gras aussi.

 

-Moi: merci pour l'invitation madame mais peut-être une autre fois.

 

-Elle: et moi j'insiste.

 

-Moi: euuuh d'accord.

 

-Elle: Ok. Là, prends place. Je vais aller te servir.

 

Elle revient une dizaine de minutes plus tard avec un grand plateau sur lequel il y avait un grand bol, deux plats et un jus de fruits. Elle me sert et je me régale. C'était vraiment appétissant. Belle et bonne cuisinière en plus.

 

Après le repas, je suis resté encore une bonne heure à discuter avec elle. C'était plus elle qui posait les questions en réalité car moi, elle m'intimidait bien assez et le fait d'être seul avec elle  l'accentuait encore plus. Elle posait des questions sur moi, ma famille, mon cursus scolaire etc. Normalement, je devais partir mais j'avais vraiment du mal à me lever. Elle appréciait bien ma compagnie aussi visiblement puisqu'elle bavardait non stop. Au bout d'une demi-heure, je commençais par me sentir un peu gêné donc je me suis résolu à partir.

 

Elle m'escorta jusqu'à la porte et me remet deux mille francs pour mon déplacement. Je la remerciai et je rentrai directement à la maison. Il était presque dix heures quand j'arrive à la maison. Bol pour moi, le vieux n'est pas là sinon je serais forcé d'expliquer dans les moindres détails ce que je foutais pour rentrer à cette heure alors que j'étais censé rentrer depuis midi. Je pris une douche et je m'allongeai. Seul dans la maison, je me repassais tout le temps passé avec elle dans ma tête. Sa façon de parler, son sourire, j'adore. La même nuit, j'ai encore rêvé d'elle et j'avais une forte envie de la revoir mais avec quel prétexte? On travaille toujours à l'école mais aller chez elle, c'était une toute autre histoire. Hier, c'était juste un coup de chance. Je ne peux donc pas espérer que son scooter tombe en panne tous les jours. Mais poussé par une force invisible, je passe toute la matinée à passablement traiter un exercice et je me suis décidé d'aller la voir dans l'après-midi avec ce prétexte.

 

Le gardien m'a reconnu et m'a laissé entrer sans aucune forme de protocole. Cette fois-ci, elle était au salon entrain de mater la téloche. C'était un grand salon luxueusement décoré. Ce qui m'a frappé, c'était la  grande photo derrière la télé. C'était un monsieur bien trapu en tenue militaire.

 

-Bonsoir madame.

 

-Elle: Ah bonne arrivée Yvan. Bonsoir

 

-Moi: désolé du dérangement. Je traitais juste un sujet et je bloquais un peu. Je voulais voir si vous pourriez m'aider un peu.

 

-Elle: Ah ne t'inquiètes pas. Je suis là pour ça. J'apprécie beaucoup le fait que tu t'intéresses autant à la littérature malgré que tu sois en série scientifique. Bon, prends place.

 

Je lui ai exposé mon inquiétude et elle m'a apporté ses suggestions que je prenais soin de noter. À un moment donné, elle parlait et je ne l'écoutais plus du tout.

 

-Elle(me touchant l'épaule): tu me suis Yvan?

 

Je ne sais pas ce qui m'a pris mais le fait qu'elle m'ait touché provoqua en moi une étrange sensation et sans y réfléchir à deux fois, sans même avoir peur de sa réaction, je l'ai embrassée. Elle n'a pas réagi donc j'ai pris peur et cinq secondes à peine plus tard, je me suis décollé d'elle tout en la fixant des yeux. À ma grande surprise, elle m'attira contre elle et m'embrassa de nouveau et cette fois-ci avec une certaine fougue. Deux minutes plus tard, elle commençait par me caresser  un peu partout et enleva mon t-shirt qu'elle jeta  loin. J'étais toujours vautré dans le fauteuil à réaliser ce qui se tramait. Elle se leva, enleva à son tour puis enleva son shirt et son soutien-gorge me laissant découvrir sa belle petite poitrine avec des seins bien relevés qui me toisaient directement. Elle laisse ensuite tomber la jupe qu' elle portait. La vache, elle est canon cette Mme Catherine! En cet instant précis, elle ressemblait aux top modèle en bikini à Miami beach. Elle me fit un petit clin d'œil et s'agenouilla à ma hauteur. Elle mit sa main dans mon Jean et fit sortir mon flingue qui était déjà chargé à bloc. Elle m'embrassa encore, puis lécha mon torse  avant avant d'avaler à pleine gueule mon bangala pour m'administrer une pipe digne d'une pro. J'avais l'impression de ne plus pouvoir avoir le contrôle de moi. Tellement, c'était exquis. Jusque-là je ne le vois que dans les films X sur internet, ces genres de scènes mais là, je le vis pour de vrai. Comprenez-moi. Pour l'ado en chaleur que j'étais, je n'ai même pas tenu cinq minutes et je voulais déjà gicler. Mais comme une véritable experte, elle le sentit tout de suite et se leva une fois de plus.

 

<<Il est hors de question que tu ne me donnes pas du plaisir aussi, petit gourmand >> dit-elle.

 

Alliant le geste à la parole, cette fois-ci, elle enleva son slip, dernier bastion avant d'accéder à son joli minou tout poilu. Elle se coucha sur la table et me fit signe d'approcher. Je me levai comme un robot pour aller l'enfourcher comme je le voyais dans les films. Je suce d'abord pendant quelques secondes ses seins qui me narguaient depuis le début, ensuite je lui fis la bise sur tout son ventre en m'attardant sur son nombril  et j'enfonçai pour terminer mon anaconda dans son bendo déjà mouillé, puis je commence par la besogner comme un dingue. Pour un début, j'ai réussi quand-même à tenir pendant plus de cinq minutes avant de gicler sur elle.

 

J'étais juste épuisé. On aurait dit que je venais de courir un marathon aux J.O.

 

Elle se leva une minute plus tard et dit tout en se rhabillant: <<T'as une sacrée paire de couilles mon petit Yvan et j'aime ça mais je dois sortir.On remet ça Ok? Prends mon téléphone sur la table et enregistre-moi ton numéro>>.

 

Drôle de femme. Moi je venais de vivre la plus belle expérience de toute ma vie et elle se lève pour partir comme si de rien n'était. Je me rhabille quand-même et je pars.

 

Depuis cette soirée, nos parties de jambes à l'air sont devenues très fréquentes. Elle m'écrivait être moi je passais. J'inventais des excuses pour sortir même le week-end pour aller la voir, que dis-je pour aller forniquer. Elle m'expliqua un jour qu'en fait que le type sur la photo, c'était son fiancé; un officier dans la marine qui allait souvent en mission. Dès qu'il revenait, bah moi je faisais profil bas. Pour info, c'était sa maison aussi.

 

On était à peine à un mois de l'examen alors on s'est  convenu de faire une petite dernière pour boucler l'année en toute beauté. Mais il y a un dicton populaire que je retiendrai désormais pour le restant de ma vie: " Tous les jours pour le voleur et un seul jour pour le propriétaire".

 

Par un bel après-midi, j'étais entrain de besogner comme d'habitude ma spéciale prof de littérature quand la porte s'ouvrit un colosse en tenue militaire.

 

-Lui( avec une voix si rauque qui pouvait faire trembler les plus téméraires) : Catherine?

 

Comme un bon exercice de rédaction niveau collège, je vous laisse imaginer la suite.

 

Merci de m'avoir lu et à très bientôt.

 

P.S: les caractères attribués aux différents personnages sont purement fictifs et ne sont que le fruit de l'imagination de l'auteur. 

 

 

Ecrit par NICK LEGONOU

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