MON CORPS POUR DE L'ARGENT (Ep 7)

MON CORPS POUR DE L'ARGENT (Ep 7) | AfroRaise
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TOUT EST BIEN QUI FINIT BIEN

Le fait qu’on le Paul ne sache plus qu'il était marié à Odette pour nous c’était une perte de mémoire, mais pourquoi le docteur disait qu'il se portait très bien ?

Nous sommes sorti avec lui pour le raccompagner chez lui à son arrivé il vit les photos de son mariage et l'état dans lequel la maison était.

Il a regardé dans ma direction et ma demander pourquoi je ne m'occupai plus de la maison.

Je lui ai dit que je ne vivais plus avec eux depuis le jour où avec les manigances de sa nouvelle compagne il me mit à la porte de chez lui à une heure si tardive.

Il fut très surpris et se mit un pied au sol et me demanda pardon en larme.
Je ne lui en voulais pas car c’est cette femme qui avait fait ça.

J'ai fait le ménage et je suis rentré chez moi ou du moins dans ma nouvelle maison, oui j’ai décidé de vivre avec Arnaud.

Les choses allaient mieux depuis que cette femme avait eu son accident.

Chose étrange, selon les docteurs elle n'a rien eu dans l'accident, mais pourquoi était-elle dans un état critique ?

Un vendredi à 15H, j'étais avec oncle Paul chez lui lorsqu'un homme frappa à la porte.

Le nouveau gardien le fit entrer à la demande du propriétaire.

Le monsieur était un homme de Dieu prénommé : Isaac.
Il était là car dans une vision qu'il a eu la veille, on lui a montré les raisons de la souffrance d'Odette.

Écoutez, nous dit-il :

Une femme au prénom d'Odette est en ce moment entre la vie et la mort. Elle peut encore recouvrer la santé.  Pour cela, elle doit dire ce qu'elle a fait pour être dans cet état.

C’était le message que cet homme de Dieu avait pour nous.

Il a ajouté :

Vous irez à 16H  du lendemain elle sera disposé à parler.

Après ces mots il s'en est allé de la même manière qu'il est venu.

Toute la nuit dans ma chambre j’ai cherché le sommeil sans succès.

Je pensais à ce qu'elle aurait comme révélation pour nous.

Le jour suivant à 8H je suis allé chez oncle Paul pour faire un tour à l'hôpital car j'étais trop impatiente.
Nous sommes arrivés dans l'hôpital, avons pris la permission de rendre visite et une fois dans la chambre, elle était toujours inconsciente.

Nous a t'il  menti ?

Après réflexion, c’est nous qui étions en avance sur le temps  car il n'était que 10H à notre arrivée.

Nous sommes sortis puis revenu à 16H comme l'avait dit cet homme.

Odette était réveillée et elle avait du mal à respirer.

Étonné de savoir que cet homme ne nous avait pas menti, nous avons demandé aux membres du corps médical de nous laisser après les soins.

Lorsque nous fûmes seuls, Odette parla d'elle-même :

Paul, désolé pour ce que j'ai eu à te faire vivre. S'il y'a une chose qui est vrai, c’est que je t'aime réellement. J'ai toujours fait le nécessaire pour que jamais une femme ne s'approche de toi, c’est la raison pour laquelle j’ai manigancé pour que tu chasses ta fille de la maison.

Oncle Paul était sous le choc.

Odette, pourquoi je ne me souviens de rien ?

Avec les larmes aux yeux elle répond :

Le jour où tu m’as demandé de partir, je suis allé chez un charlatan pour qu'il fasse de toi ma marionnette. Si tu rentres dans la chambre, regarde derrière le lavabo de la douche dans la chambre tu trouveras un petit pot en terre battue.
C’est ce que m'a remis le féticheur.

J'étais gravement surprise d'entendre c’est révélations.

Puis oncle Paul se mit à crier dans la chambre d'hôpital.

Je l'ai calmé même si c'était une réaction fondée, mais elle n'avait pas fini de nous étonner.

Odette m'appela :

• Odette : ma chérie

• Moi : Oui Odette ?

• Odette : je suis désolé pour le mal que j'ai causé dans ta vie

• Moi : tout est oublié.

• Odette : laisse te dire ce qui c’est passer

• Moi : ok.

• Odette : après que tu sois parti de la maison, je t'ai vu 5 jours après avec une femme, et après mes recherches j’ai découvert qu'elle était prostituée.

• Moi : Oui j’ai vécu avec elle, mais qu'est-ce que tu essaies de me dire ?

• Odette : tu te souviens du jour où elle est venue te proposer de faire comme elle ?

• Moi : Oui.

• Odette : c’est moi qui lui ai demandé de le faire en échange d'une forte somme d'argent.

Soudain, une colère immense est montée en moi, j'avais une seule envie : placé mes mains à sa gorge puis faire pression jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus sortir ni entré de l'air dans ses poumons.

Elle continua :

• Odette : j'ai fait le nécessaire pour que tu ne viennes plus jamais chez Paul.

• Moi : Mais qu'est-ce que j'ai bien pu te faire ?

• Odette : toi rien. Le problème c'est que Paul t'aime comme sa propre fille et aucune femme ne pourra changer cela.

Le docteur entra dans la chambre et nous dit :

Je vais devoir vous demander de sortir car une femme enceinte a besoin de beaucoup de repos.

Nous étions tous surpris de cette autre nouvelle.

En conclusion, Odette avait un bon fond, mais la jalousie à fait en sorte qu'elle voit les autres femmes comme des potentielles rivales.

A SUIVRE

 

Ecrit par EBEN-EZER.

 

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