MON CORPS POUR DE L'ARGENT (Ep 4)

MON CORPS POUR DE L'ARGENT (Ep 4) | AfroRaise
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POUR LA SURVIE

A son retour à la maison au environ de 15H, Oncle Paul a pris connaissance des causes du départ des travailleurs.

Il était furieux contre sa nouvelle femme.

Un mois après cette période mouvementée, Odette a fait un voyage pour son village natal.

Elle a passé une bonne semaine avant de revenir.

A son retour, c’est comme si oncle Paul était devenu une autre personne.

Toujours à faire ce que lui disait sa femme.

Un bon matin il a annoncé à sa famille qu'il  voulait épouser Odette officiellement.

Et un mois plus tard, il épousa Odette. 
Ce mariage annonça le début d'un triste destin pour nous et surtout pour moi.

Elle a chassé les travailleurs une fois de plus et cette fois-ci le chef de familles n'a rien dit.

On avait plus d’argent de poche, pour aller à l'école on marchait car les voitures étaient réservées à elle seule.

Je me suis plainte chez oncle Paul du comportement de sa femme.

Devant nous il n'a rien dit, mais après être entré dans sa chambre, il a tout expliqué à sa femme.

Qui lui a demandé de me punir.

Il m'a porté mains pour la première fois depuis que j'étais avec eux.

J’ai pris sur moi car il était comme mon propre père.

Il travaillait toujours, mais son salaire était pour cette altruiste d'Odette.

Elle voyageait tous les 3 mois, portait des vêtements de marques de luxe et allait en boîte chaque week-end.

Oncle Paul ne parlait pas.

Une nuit, elle est rentrée à 3H.

J'étais au salon, la porte de la maison était fermée et je ne me suis pas lever pour ouvrir.

Elle a appelé son mari pour ouvrir et lui comme un pantin il est venu ouvrir.

En journée, elle demande à oncle Paul si j'étais la fille de sa défunte femme ou d'une autre de ses femmes.

Il lui a répondu que j'étais là nièce.

Elle est sortie de la chambre furieuse et à commencer à me crier dessus.

Deux semaines après, elle demanda à mon oncle de me mettre dehors. 
Il a catégoriquement rejeté cette requête.

Elle a laissée pour cette fois-ci.

Avec les jours qui passaient, elle me voyait comme une rivale et non comme la nièce de son homme.

Elle lui a donné un ultimatum :

Fais un choix Paul, soit c’est elle ou c’est moi.

Mes parents n'étaient plus de ce monde et la femme qui m'avait prise dans son foyer n'était plus là elle aussi.

Mes grands-parents étaient morts eux aussi.

Il est allé me déposer chez un oncle, petit frère de ma défunte mère.

Il m’a gardé un mois, après il commençait à devenir louche à mon sujet.

Un soir, il est rentré ivre.

Il m’a demandé de lui donner à manger.

J'étais en pyjama, je suis allé à la cuisine puis après lui avoir donné à manger je suis rentré dormir.

Il est rentré dans la chambre sans faire de bruit et à abuser de moi.

Lorsqu'il a fini son acte, j’ai pris mes affaires et je suis sorti de chez lui.
Les vêtements maculés de sang 1u niveau du bas, les larmes aux yeux je suis allé dans la rue à 3H du matin.

J'étais sur un banc public lorsqu'une femme m'a réveillée et ma demander de la suivre.

Nous sommes allé chez elle j’ai pris une douche et elle m’a demandé ce qui m'était arrivé.

Après mes explications, elle m’a dit de ne plus pensé à tous que cet homme sans scrupules venait de me faire subir.

Après une semaine passée avec cette femme qui se présenta à moi sous le prénom de (Donaline la santé).

Elle me présenta à ses amies qui au premier abord, avaient un air de fille de joie (prostituée).

J'ai demandé à Donaline quel était le travail qu'elle faisait et elle me répondit :

Moi mon travail c’est de donné la joie au plus offrant.

Mais où suis-je tombé ?

Seigneur quelle est cette épreuve que tu me fais vivre ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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VENDEUSE DE JOIE


La jeune femme qui m'avait accueilli dans son modeste studio avait pour copines des prostituées.

Après avoir découvert son entourage, nous sommes restés 2 mois sans problèmes comme deux sœurs.

Un jour elle est rentrée à la maison très faible.

Sa peau était toute chaude, ses yeux d'une couleur qui rappelle une sauce faite avec des noix de palme et pour finir, elle n'arrêtait pas de vomir.

Nous avons calmé la fièvre pour la nuit et le lendemain nous sommes allés chez un médecin qui a dit qu'elle manquait de repos.

Le docteur a prescrit des médicaments que nous avons pris puis nous sommes rentrées.

Après deux semaines, sa santé était rétablie et elle avait repris son activité.

Tout allait bien jusqu'au moment où un soir elle me dit asseoir :

- Il faut que tu te rendes utile.

J'étais intrigué par ses propos.

Je lui ai demandé que dois-je faire ?

- Sors dans la rue et travaille comme moi.

Je lui ai donné mon accord sans savoir ce qu'elle faisait comme travail 
Le jour d'après, à 20H, elle m’a demandé de me préparer et de mettre une tenue sexy.

Nous sommes allés dans une boîte de nuit trésor fréquenté par les grands hommes du pays.

Elle me présenta comme sa sœur à une dame qui a répondu en disant :

Très bien, je vais lui trouver le client parfait.

On m’a donné à boire.

J'étais sur une table proche du comptoir et à un moment, le serveur à fais un signe à un monsieur au fond de la salle en me pointant du doigt.

Le monsieur est venu vers moi et à engager la discussion.

Je ne voulais pas répondre à un inconnu.

Donaline est venue me dire ces mots à l'oreille :

Ne joues pas les impolis. Ce monsieur est très riche si tu te comportes bien il pourra t’en donner.

Nous étions à la recherche d'argent alors j'ai accepté avec toute la naïveté du monde.

Nous avons discuté et il m’a dit qu'il est le DG de la Banque centrale du pays.

Immédiatement j'ai compris qu'il était très riche.

Nous avons continué à boire et après il me demanda de l’accompagner.

On a pris la voiture et nous sommes arrivés devant un hôtel.

Je me suis écrié :

Pourquoi sommes-nous ici ?

Il a rigolé et m’a dit :

Tu veux de L'argent n'est-ce pas ? Alors suis moi je vais t’en donner

On est allé dans la chambre.

(Que Dieu me pardonne pour la suite, mais si je m'y attendais, je n'allais pas mettre les pieds là-bas)
Il a fermé la porte, est aller dans la douche.

Le bon monsieur sort en serviette puis il se dirige vers moi.

Il m’a tiré la main, après avoir refusé il me demanda ce qui n'allait pas.

Sans réponse il me demanda de sortir.

J’ai demandé l’argent qu'il m'avait promis.

Subitement j’ai eu mal au ventre.

J'étais au WC.

Il est entré sans vêtement et comme m’a soulevé de force, jeté sur le lit puis il m'a fait la même chose que mon oncle.

Je pleurais après qu'il ait fini.

Sa transpiration sur moi était comme une eau de malchance.

Pour me consoler, il me donna une enveloppe de 50000.

J'avais du mal à marcher le monsieur ma demander de dormir et il devait me raccompagner chez moi le matin. 
Lorsque j'ai expliqué à Donaline elle était contente et m'a félicité.

J'ai compris que pour avoir des sous lorsque tu es une orpheline il faut se sacrifier. (Il ne faut pas suivre cet exemple).

Chaque soir je voyais un ou deux hommes.

J'étais devenu comme les filles qui pour moi n'avaient pas de dignité.

J'étais devenu entrepreneur, mais avec le mauvais instrument.

Mon Corps était ma source de revenus.

La famille je n’avais plus et ma vie était désormais régie par un commerce qui pourrait moi-même me rendre très malade.

J’étais devenu une fille de joie.

A SUIVRE

 

Ecrit par EBEN-EZER.

 

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