LA FEMME DE MA VIE (Ep 12)

LA FEMME DE MA VIE (Ep 12) | AfroRaise

 

 Je me suis levé puis me suis mis en route.

 

 

♦ Monsieur le juge... je viens de perdre les preuves, ce monsieur vient juste de m'attaquer quand je venais ici et il a emporter les preuves..

 

♦ M. Rodrigue.... vous vous foutez de ma gueule? Premièrement vous êtes venu en retards. je n'ai rien dit et maintenant vous accusez un innocent?

 

♦ Monsieur le juge je ne mens pas ils m'ont assommé.

 

♦ M. Le juge comme vous pouvez le constater je suis venu ici à temps environ 4 h de temps avant lui.. comment pourrais je faire une chose pareille? intervient M. Garros

 

♦ M. Le juge.. le juge m'arracha la parole

 

♦ M. Rodriguez taisez vous. Vous accusez un innocent. La plainte est à présent contre vous... vous devez dédommager m. Garros en liquide 2M ou vous irez derrière les barreaux.

 

 

Cet idiot comestique voulait qu'on m'emprisonne. Il a refusé l'argent. C'est grâce à mon avocat que tout a été négocié.

 

 Je suis rentré à la maison animé par la rage, on dirait un chien galeux. Je n'ai plus vraiment le choix. Si je sais pas faire ma fortune serait à l'eau à cause de lui.

 

 

 La seule chose à faire c'est faire en sorte que Jeff soit sur ces deux pieds.

 

Avec ce qui vient de se passer à la justice, je crois que ce problème est fini comme ça.

 

 

 Il a ce qu'il veut je crois. Il est vrai que ma douleur n'est pas atténué mais ça va aller avec le temps.

 

 

*★★★Andréa et sa belle mère à l'hôpital★★★*

 

 

Mon père vient de me raconter au téléphone, le sale tour que Garros lui a joué.

 

Vraiment s'il y a des individus comme ça, le monde est altéré. J'imagine ce qu'il ont fait à mon pauvre mari.

 

 Quelqu'un qui ne parle même pas hum Jeff cheri...

Ce fait 3moi que tous ces incidents sont passés.

 

Jeff n'est toujours pas réveillé. Mais ses organes fonctionnent toujours car en tant que une infirmière je l'examinais moi même parfois.

 

 Aujourd'hui je suis avec lui en attendant que ma belle mère aille se doucher, quand il toussa

 

 

♦ Jeff , Jeff....

 

 

Il répond pas.. au même moment sa maman venait d'entrer. Elle l'appelle aussi

 

 

♦ Jeffrey...

 

 

♦ MAMAN???... Qu'est-ce-que tu fais ici?.. Andréa où sommes nous?... tes pas à la boutique?

 

 

On essayait de lui répondre et il repartit nous laissant encore en deuil.

 

Maman-Jeff qui semblait être forte en émotions et qui me calmait dépuis que je pleurais, a versé ces larmes aussi pour la première fois.

 

 

Le docteur en charge de l'état de mon mari était là, on lui a expliqué, il nous disais qu'il vient de se réveiller définitivement mais mais il a seulement besoin du repos; chose qui nous soulage un peu.

 

 

♦ Laissez lui se reposer il sera sur ses pieds bientôt. Disait il en partant.

 

 

♦ D'accord docteur. Nous lui répondimes.

 

                               *★★★Cinq jours après★★★*

 

Dans la soirée j'étais allé me doucher en ce moment ma belle mère était à l'intérieur. D'habitude c'est à tours de rôle.

 

 Je suis arrivé sa maman me disait qu'il faisait des mouvements de ces pieds.

 

 Je suis du moins content il n'est pas paralysé. Elle était partit j'étais à l'extérieur.

 

je m'étais levée pour l'arranger l'oreillet, quand je remarquait qu'il s'est réveillé depuis mais ne disait rien.

 

 

♦ Jeff t'es réveillé depuis? Attend je vais informer les parents. Disais-je en lançant l'appel.

 

 

♦ Euh non. Mais je pensais qu'il 'y avait personne.

 

 

♦ J'étais là.

 

 

♦ Sérieux ? C'est quoi ta gri gris ou quoi t'ai pas vu (sourire)

 

♦ (Rire) t'es encore réveillé avec tes comédie non?

 

 

♦ (Rire) aller viens dans mes bras je veux sentir ton odeur.

 

 

♦ Tu m'as beaucoup manqué Chéri. Lui disais-je en le serant fort contre moi.

 

 

♦ Tu m'as manqué aussi.

 

 

♦ J'ai vraiment peur de te perdre Bb. Je t'aime à mourir.

 

♦ Moi je t'aime à la folie.

 

 

Il m'a lâché je suis assise à côté de lui sur son lit d'hôpital. Il me lançait après m'avoir admiré avec beaucoup de tendresses et de galanteries.

 

♦ Et mes héritiers? Il vont bien? Disait il en touchant mon gros ventre.

 

 

♦ Oui hein..  ils vont trop bien même. Ils m'ont dit hier que tu leurs manques

 

♦ (Mdr) toi aussi hein.

 

♦ Sérieux laaa.

 

♦ (Rire) Viens je vais leur donner une bise en attendant ☺️..

 

Je soulève mon habit et il pausa sa bouche sur mon ventre nue en disant.

 

♦ Mes amis je vous aime. Dérangez maman hein, elle est trop à l'aise icii laa.

 

 

♦ Imbéciles. (Mdr)

 

 

♦ (dur) c'est quoi? si tu veux pas donnes moi la grossesse je vais porter

 

 

♦ (Mdr) tu n'as pas changé hein. Si seulement je pouvais te le donner

 

 

♦(Rire) ça jamais. Merci d'être là pour moi. chuis trop content.

 

 

On se calinait quand mes parents entraient en raclant la gorge. On se tournait et les voilà. Mon père lui lança

 

 

♦ Euh le fau mannequin laaa tu es  en fin réveillé?(sourire)

 

 

♦ M. Rodriguez (Rire) je suis très content de vous revoir. Maman ça va?

 

 

♦ Oui Jeff, c'est à moi de te demander. Lui répondait ma mère.

 

 

♦ Ça va bien... juste que je sens un peu la fatigue mais ça va.

 

 

♦ Alors Jeff comment ça s'est passé ? Lui demandait mon père

 

 

Il voulait commencer quand sa maman fait son entrée. Il lui lançait tout étonné

 

 

♦ MAMAN ?? t'étais là aussi?

 

 

♦ Oui mon fils.. t'es réveillé.

 

 

♦ Oui ça fait combien de jours déjà.

 

 

♦ Ça fait banalement quatre mois?

 

 

♦ 4 mois.??

 

 

♦ Oui oui... lui répondis je.

 

 

♦( Pleure) les enfoirés... Et mon travail... Sniff oh mon Dieu. Disait il en cachant sa face avec ça main. Je fus très touchée.

 

 

♦ Chéri ne t'en fais pas.. si tu leurs explique il vont comprendre.

 

 

♦ Je crois pas ma belle (pleure)

 

 

♦ Jefff ne pleure pas l'essentiel est que tu es en vie d'accord. Le travail il y en a plein. Lui disait ma mère.

 

 

♦ Maman j'ai beaucoup souffert avant de trouver ce taff. (Pleure)

 

 

♦ vioofo (Grand frère de mes enfants) Ne pleure pas le travail ces Dieu qui donne. Ci c'est ton travail, comme l'a dit ta femme si tu leurs explique il vont comprendre.

 

 

Il se met à calmer peu à peu . Mais il continuait toujours de pleurer.

 

 

♦ Euh Jeff ne te soucie même pas d'accord?? Même si ça marche pas on va en trouver d'autres. Tes un homme n'oublie pas *"Männer weinen nicht"* . =>(La Pleure c'est pour les femmes.)

 

 

Je ne sais pas si c'est l'allemand que mon père lui avait parlé qui l'a calmé mais il essuie en même temps ses larmes et se lève du lit en étant en position assise.

 

 

 Sa mère lui demander une fois encore ce-qui s'est passé; puis il se met à nous raconter calmement  mais avec plein d'humour ce qui lui était arrivé. On père lui, il ne faisait que lui taquiner...

 

♦ Alors c'est comme ça les gorilles du 15em siècle là t'ont attaqué (rire)

 

 

♦ Je vous assure m'sieur Rodriguez.. Ils m'ont trop bien tabassé.. (rire) D'ailleurs j'ai kiffé.

 

 

(Mrd dans l'ensemble)

 

 

Nous nous plongeons dans d'autres discussions de fou rire jusqu'à la nuit profonde où mes parents sont repartis et nous aussi nous sommes allés nous coucher.

 

 

Une semaine après l'état de mon mari semble être amélioré.

 

On nous a libéré. Mais nous avions dépensés beaucoup d'argent de notre économie.

 

 

                    *★★★jeff le premier mannequin★★★*

 

 

Selon ce que "les vivants" disent, j'ai passé 4 mois 2 semaine dans ce misérable lit. Pour moi c'était comme une journée.

 

 Je suis revenue à la maison, il y a de cela une semaine. Ma femme m'a montré les frais d'hôpital vraiment c'est de la merde.

 

Mais Dieu merci grâce à nos économies, nous avons réussi à tous régler. La plus grande partie c'est m'sieur Rodriguez qui l'a payé.

 

 

Sous prétexte que c'était de sa faute. Il m'a expliqué depuis le début comment ça a commencé entre lui et Garros,  c'etait clair et net que c'est à cause de lui et Andréa Garros à monté sa fille.

 

 

Je me suis beaucoup accusé. Si je savais j'allais même pas donner la chance à sa fille mais bon ça c'est du passé.

 

 M. Rodriguez m'a conseillé de laisser Garros. Et il m'a raconté aussi comme Garros l'a honis à la justice si bien qu'il était coupable.

 

 Ça m'a beaucoup fait mal. Mais je me suis dit ça fait rien. La vie et Dieu me vangerons tout comme m. Rodriguez m'a conseillé.

 

 Mais ce qui m'intrigue c'est l'ambassade jusqu'à présent aucune signe de mes collègues. Vraiment les gens sont mauvais.

 

Votre collègue ne vient plus au service vous ne l'appellez pas pour voir ce qui ne va pas. Ouuf c'est génial. C'était un dimanche et après la messe j'ai retrouvé mes forces et maintenant tout va hyper bien.

 

 

Je me suis dit demain j'irai au boulot voir ce qui se passe au juste... comme convenu le jour suivant je suis arrivé au boulot tout le monde me voyait comme un étranger.

 

 Les potes avec qui je cassait les bouteilles lors des fêtes des sorties et tout font comme si je suis un assassin.

 

 

Comme il s'en moquent moi aussi je les ai dépassé posément et Chuis arrivé devant la porte du vice ambassadeur.

 

 

♦ Excusez...

 

 

♦ Rentrez c'est ouvert... Je suis rentré il me regardait bizarre et me lança.

 

 

♦ Mais m. Campbell Que fait vous ici.. vous êtes sous peine d'emprisonnement de 3ans selon ce que nous avons reçu comme information de votre beau-père...

 

 

♦ De mon beau père ?

 

 

♦ Oui

 

 

♦ Pourquoi ?

 

 

♦ Vous aviez menacé une femme riche avec une arme et vous étiez arrêté c'est pas à moi de vous rélacter l'histoire...

 

 

♦ Quoi? Moi?

 

 

♦ Ce pas devant moi vous allez jouer l'innocent. J'appelle la police.

 

 

♦ Non attendez vous disiez mon beau père??

 

 

♦ Oui m. Rodrigue magnimey.

 

 

♦ Quoi?

 

 

♦ Ne faites pas semblant m. Campbell. Ou bien vous vouliez me menacé aussi ?

 

 

♦ Mais m'sieur l'adjoint à vrai dire je sais rien de ce que vous raconter. Si vous voulez me virer faites le. ce n'est pas ça qui va vous faire trouver des prétextes de dingue.

 

 

♦ M. Campbell. Je vous ai fait beaucoup de confiance mais étant donné que c'est votre #beau-père j'ai pas besoin que Jésus Christ descende d'abord.

 

 

♦ Je vous comprends alors quand est-ce qu'il était passé?

 

 

♦ Deux jours après votre absence.

 

 

♦ Et vous dites c'est mon #beau #père hein?

 

 

#Oui

 

 

♦ Non m. Rodriguez que je connais, ne fera jamais ça car il était au parfum de ce qui s'est passé. Attendez je vais l'appeler voir.

 

 

Je prends mon téléphone et lançais l'appel à m.

Rodriguez. Il m'a montré sa naïveté et me disais qu'il viendra dans 5 minutes puisqu'il n'était pas loin.

 

 

♦ C'est vraiment sombre cette histoire

 

 

♦ Euh m. Campbell si  vous ne me croyez pas nous pouvons toute fois aller à la salle d'informatique vous même  vous allez verifier, le caméra l'avais  enregistré.

 

 

♦ Bonne idée allons-y.

 

 

Il se leva nous nous dirigeâmes vers l'assenceur mais ça ne marchait pas nous avions dû prendre les escaliers pour atteindre la salle de la technologie quand m. Rodriguez est arrivé.

 

 

♦ M. L'adjoint c'etait lui qui était venu ?

 

 

♦ Non celui qui était venu, si j'ai encore bonne mémoire il est plus noir que celui ci.

 

 

♦ C'est Garros.. me disais m. Rodriguez.

 

 

♦ Humm je vois.

 

 

♦ Mais c'est lui qu'on appelle Rodriguez magnimey. C'est lui mon beau-père. Si seulement vous étiez venu à mon mariage vous allez le connaître. Et il y aura pas ça... disais-je tout désespéré.

 

 

♦ Ah malheureusement.. mais, allons à la salle d'informatique.

 

 

Nous suivons la vidéo et lui voilà. Ce qui me fait plus mal est qu'il était accompagné de Rolande sa fille et tout ce qu'il disait Rolande le comfirmait.

 

 

 Monsieur l'adjoint semble ne pas être convaincu. Je lui lançais.

 

 

♦ Alors m'sieur vous voyez que...

 

 

♦ Euh monsieur Campbell. Je ne vous crois pas vous et votre colloque.  De toutes les façons nous,  nous avions déjà trouvé quelqu'un d'autre à votre poste. Donc ce serait vaine ce que vous allez dire. On pourrait qu'à même pas attendre qu'un criminel sorte de la prison avant de travailler...

 

 

  Très furieux, nous sortons de la salle d'informatique, m. Rodriguez me calmait en m'accompagnant vers ma moto qui était en panne ce jour là.

 

 

Il était très énervé une fois encore contre ce putain de Garros. Je lui tape sur les épaules en lui disant.

 

 

♦ Papa faut rentrer. cette guerre n'est qu'à ces débuts. On va le coincer. T'inquiètes pas le soir je viendrai chez toi.

 

 

Il était partis j'appelle un mécanicien qui m'arrangeait le moto quand Angela la métisse, mon assistante afin mon ex-assistante arrivait à mon niveau...

 

Il était partit,  j'appelle un mecanicien qui m'arrangeait la moto quand Angela la métisse, mon assistante afin mon ex-assistante arrivait à mon niveau.

 

 

♦ Alors c'est comme ça on accueille son ex-collègue ?

 

 

♦ Euh Jeff chuis désolé d'avoir cru bêtement sans t'écouter.

 

 

♦ Bah pourquoi.?

 

 

♦ Parce-que maintenant je sais que tu n'as rien fait on t'a diffamé.

 

 

♦ Non je l'ai fait.

 

 

♦ (Rire) Arrêt de me faire rire laa

 

 

♦ Je ne ris pas. Si c'était toi j'allais au moins t'appeler d'abord avant de croire.

 

 

♦ Arrêt de tourner tes gros yeux on dirait les yeux d'un Autriche (rire) en plus tes lèvres sont trop rose quand tu rougis. Ça me rend dingue... tu sais pas ?..(sourire large)

 

 

Le mécanicien qui m'arrangeait les Pneus commencait par rire. Je souris aussi et lui disais.

 

 

♦ Ok je te pardonne.

 

♦ Voilà merci beaucoup. Dis- moi ce qui s'est passé.

 

 

Je lui explique très brièvement  ce que s'est passé elle me demande d'aller porter plainte et l'ambassade serait mon témoins.

 

Elle ne vient qu'à même pas de m'ouvrir les yeux? Avec tout un ambassade derrière moi je vais gagner peut importe.

 

 

♦ Merci Angela. Merci beaucoup. Tu m'as fait souvenir à quelques choses. Mon ordinateur bureautique est là ?

 

 

♦ Oui c'est ça j'utilise actuellement. Cool allons j'avais caché quelques choses dessus. je vais la récupérer.

 

 

Elle m'a accompagné j'ai recopié les enregistrements sur mon téléphone et  je partais.

 

 

♦ Alors c'est comme ça on quitte son ex-assistante.

 

 

♦ Euh tu veux quoi?

 

 

♦ Un câlin.

 

 

♦ Mes câlins sont réservés pour ma femme.

 

 

♦ Tu aimes trop ta femme là hein

 

 

♦ Oui elle est la meilleure.

 

 

♦ Humm ok moi aussi je rêve le jour où quelqu'un me donnera un tel respect (triste)

 

 

♦ Comme tu es triste,  viens je vais t'en faire un. Mais faut que ça devient ton habitude siaa?

 

♦ (Rire) Non ça jamais. juste une seule fois je veux.

Je la câline un peu et suis retourné chez le mécanicien qui avait fini depuis et m'attendais. Je récupère ma moto et chuis arrivé à la maison..

 

 

Ma femme était impatiente. Elle courait malgré sa grossesse vers moi.

 

 

♦ Ne te bouscule pas chérie j'arrive.

 

 

Elle s'arrête je m'approche d'elle on se cajolait un tout petit peu et elle me demandait

 

 

♦ Alors..

 

 

Je lui ai tout expliqué. Elle failli faire une crise, Dieu merci je la prends dans mes bras. Après avoir mangé on s'est endormit.

 

 

Le jour suivant je suis allé chez mon beau père et après des entretiens et la totalisation des preuves je me débarqué à la justice.

 

 J'ai porté les plaintes. Et le jour suivant nous y étions. La plainte englobait lui et sa fille en même temps.

Comme nous connaissons son plan, nous avons dû alerter la police.

 

 

 En chemin comme à la coutumier, sa bande de gorilles nous poursuivait et nous a coincé dans coners quand la police fait son apparition.

 

 

Il sont arrêtés. Il était au nombre de 12. Nous sommes en fin arrivé à la justice.

 

Comme d'habitude ils étaient là avant nous, toujours bien sapé.

 

 

Rolande me lançais des regards noire mais je la calculais même pas. C'était une silence total dans la salle. Le juge prend la parole

 

 

♦ Alors monsieur Jeff Campbell approchez vous de nous. De même m.  Wilson Garros et mademoiselle Rolande Garros.

 

 

Nous nous approchâmes

 

 

♦ Monsieur Garros et sa fille. M. Campbell ici, etait venu se plaindre chez nous hier que vous et votre fille vous lui rendez la vie difficile; Lui, sa femme et les parents de sa femme. En savez vous quelque chose ?

 

 

♦ Aucunement pas monsieur le juge.

 

 

♦ M.Garros vouliez vous nous dire que ce sont des fausses accusations

 

 

♦ Exactement. Vous avez bien deviné. Je n'ai jamais fait de mal à personne. disait-il très humblement.

 

 

♦ Monsieur le juge vous me permettez ? Intervenais-je

♦ Vous avez la parole m. Campbell.

 

♦ Merci m. Le juge. Permettez-moi d'aller en détail.  Cet homme que vous voyez là, M.Garros m'a accusé d'avoir occasionné la disparition de sa fille. Un fait à propos duquel je n'en suis aucunement pas au courant. Il m'a même menacé à plusieurs reprises. Voilà les enregistrements de nos conversations.

 

 

♦ Merci M. Campbell. Faite nous les écouter.

Il lançais l'audio.

 

 

♦ Alors m. Garros vous avez le pouvoir de brûler les gens vifs.

 

 

♦...... (Silence)

 

 

♦ Mais M. Garros c'est une question.

 

 

Son avocat prend la parole.

 

 

♦ Monsieur le juge, il ne voulait pas vraiment le brûlé vif c'etait juste une manière de parler...

 

 

♦ Votre argument n'est pas valable, m'sieur l'avocat de défense. Ce seront plutôt les preuves pour contredire ce que monsieur Campbell vient de prouver qui seront souhaitées.

 

 

♦ Nous en avons pas.

 

 

♦ Très bien.

 

 

♦ Ce n'est pas encore fini m. Le juge.

 

 

♦ Allez-y jeune homme.

 

 

♦ Merci m. le juge. M. Garro que vous voyez heublement assis là bas devant vous à envoyer six criminels (pleure) m'attaquer le jour où je suis venu déposer la première plainte. M.le juge je vous assure qu'il a envoyé les gens y compris sa fille. Ils ont saccagé un supermarché d'à peu près 15 millions et plus de ma femme.(Pleure) Encore plus une femme enceinte sans même se soucier de son état. Ils ont même essayer de lui ôter la vie en le poursuivant à voiture. Voilà les vidéos.

 

 

♦ Monsieur Garros vous confirmez?

 

 

♦ ..... (Silence)

 

 

♦ Mais Monsieur Garros qu'est ce que vous êtes?  Un Diable?

 

 

♦ Cela ne s'arrête pas là, M. Le juge. cet homme-ci a eu même le culot d'aller mentir dans mon compte au boulot. Comme prétexte (pleure) j'ai menacé une femme riche avec une arme. Il a même dis à mes collègues que j'ai été condamné à trois ans d'emprisonnement. (Pleure)Tout en se présentant au nom de mon beau père m. Rodriguez qui est assis ici.(Pleure) à cause lui j'ai perdu mon emploi je dis bien un emploi de 500000 fcfa.

 

 

♦ M. Le juge ça, il ment mon  père n'a jamais fait ça.  Il ment.. il est juste entrain de faire couler les larmes de crocodile pour vous séduire et vous convaincre je lui connais. Disait sa fille Rolande avec sa plus grande voix

 

 

♦ Monsieur le juge repris je calmement. J'ai une délégation de l'ambassade y compris l'adjoint ambassadeur chez qui il a raconté ses balivernes.

 

 

♦ Les témoins sont-ils là ?

 

 

♦ Oui .

 

 

♦ Est ce que c'est vrai ?

 

 

♦ Ouiiiiiii.

 

 

♦ Je ne peux pas tolérer ce complot. Disait il en faisant semblant d'être énervé.

 

 

♦ M. le juge. Je suis l'adjoint de l'ambassadeur des États-Unis d'Amérique au Togo. C'était chez moi qu'il était venue voilà la vidéo.

 

 

♦ Maintenant tout est clair comme l'eau de roche. M. Garros vous vous rendez compte de ce que vous aviez  fait ? Et de ce que vous faites ? Vous avez diffamé deux personnes au sein d'une société. Et on vous demande vous nier?  Encore moin devant un Tribunal. Connaissez vous ce que s'est que la diffamation? saviez vous les conséquences qui en découlent ?

 

 

Depuis là ça tête est baissée il ne répond plus. Son avocat prend la grosse tête

 

 

♦ M'sieur le juge. C'était juste une manière de montrer son mécontentement.

 

♦ Taisez vous ! Disait le juge en  tapant sur la table. Je n'ai pas encore fini. (Très énervé)

 

 

♦ M. le juge ayez un peu de respect en vers notre personne et  donnez-nous le temps de vous expliquer les choses.

 

 

♦ M.Garros j'encule profondément votre respect.(très énervé)

 

 

♦ M.Le juge. Repris je calmement.

 

♦ Oui M.Campbell

 

 

♦  Pour terminer; ma vie, la vie de ma femme enceinte, la vie des parents de ma femme, la vie de mes parents ont été bouleversées le jour où m.Garros a envoyé ses Bodyguards me tabasser jusqu'à ce que je ne perde connaissance; pour me réveiller 4 mois après. A l'hôpital j'ai dépensé des millions pour avoir la vie sauve. Jre suis jeune et j'ai toute ma vie devant moi.J'ai commencé par gagner ma vie. M. Garros et sa fille m'ont détruit.(Pleure) Maintenant j'ai plus de travail à cause d'eux. Ma femme a perdu son supermarché de 15 millions à cause d'eux.

 

 

♦ Je comprends votre inquiétude. M. Campbell. Me disait le juge.  Il fait une pause de 15 minutes et lança.

 

 

♦ M. Garros, m. Garros, m. Garro ça fait combien de fois je vous ai appelé?

 

 

♦...(silence)

 

 

Il ne faisait que me regarder bizarre. Le juge continuait.

 

 

♦ Ça fait combien de fois?

 

 

♦ Deux fois.

 

 

La foule se mettait à rire. Lui, il faisait un visage on dirait un mouton à la veille de Tabaski.

 Le juge gardait sa sérénité.

 

 

♦ ça fait vraiment deux fois..

 

 

La foule se met à rire de nouveau. Il tape sur la table, son visage bien serré on dirait une mouche qui vient de se poser nouvellement sur une merde de 85 jours.

 

 

♦ Taisez vous...  M. Garros Je veux maintenant vous notifier votre peine. J'ai examiné les ordonnances de la mise en accusation. J'ai entendu les arguments du procureur, les plaidoyer de votre avocat. Et j'ai également entendu m. Rodriguez magnimey, l'adjoint de l'ambassadeur de même que madame et monsieur Campbell. Vos crimes sont immondes, particulièrement ignobles et en plus vous les  avez fait endosser de quelqu'un d'autre. Pour tous ces raisons mademoiselle et monsieur Garros je vous condamne à la peine maximale de 10 et 20 ans d'emprisonnement respectifs. À condition que vous dédommager m. Campbell et sa famille de 50 millions de FCFA, Et m. Rodriguez de 20 millions. Au cas contraire 35 ans d'emprisonnement pour vous et 20 ans pour votre fille. Vous optez pour lequel?

 

 

♦ Le premier.

 

 

 ♦ Merci mesdames et messieurs vous pouvez vous disposez.

 

 

Nous sommes rentrés à la maison avec une joie inestimable, j'ai reçu les 50 millions de même que mon beau père ces 20 millions. Avant qu'on ne les conduisent dans leurs cellules.

A SUIVRE

Ecrit par MANI

 

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