AU PRIX DE MON ÂME (Ep 18)

AU PRIX DE MON ÂME (Ep 18) | AfroRaise

 

 

#FLASH-BACK…

 

   BRYAN

 

M. Julien et Mike quittèrent la salle du moment où je leur ai raconté ce qui s’est passé. Je ne sais pas s’ils m’ont cru, toutefois ce n’est pas mon problème.

 

Cloué sur ce lit dans cette deuxième maison de Julien en ayant ce bras blessé, tout mon désir était de détruire cette bande qui a pourri la vie de ma mère, oui c’est pour cela que je suis là et quand j’ai rencontré Adriana, j’ai voulu la sauver coûte que coûte de cette perversion. Elle m’a finalement écouté mais c’était trop tard, elle a été complètement détruite. Du point de vue de l’homme que je suis, je pense que plus personne n’aimerait épouser Adriana pourtant elle était une très belle d   ame, le réseau a tout gâché.

 

Selon les dires de ma mère, ce réseau existait depuis plus de trente ans et au jour le jour, il y avait de nouveaux remplaçants, de nouvelles têtes jusqu’à maintenant et les filles n’en manquaient pas non plus puisqu’on promet à ces dernières une vie de luxe.

 

Le nombre de personne que cette bande a pourri, je ne saurais le dire puisque ma mère n’a pas su le dire. En ce moment, ma haine contre Christophe a augmenté, il ne devrait pas se poignarder lui-même, je devais le faire, je devais le tuer pour venger la mort de ma mère. Je ne peux jamais être tranquille sans avoir détruit ce réseau. Je dois l’accomplir même si je dois mourir.

 

Une idée enrichissante me vient, je sors avec ce bras blessé et personne n’est là à part nos informaticiens qui sont dans leur salle aussi. Je vois que le corps de M. Christophe est toujours à sa place, ça c’est bon signe !

 

Je dois vite passer cet appel avant le retour de Mike et c’est ce que je fis en changeant un peu ma voix lors de l’appel.

 

-Moi : bonjour monsieur !

 

-Lui : bonjour ! que puis-je faire pour vous ?

 

-Moi : êtes-vous le docteur Georges de l’hôpital « le laborantin » ?

 

-Lui : oui, c’est exact. Qui êtes-vous ?

 

-Moi : qui je suis ? ça importe peu. Il n’y a pas longtemps, Vous vous êtes occupés d’un patient qui était traumatisé et un jeune l’accompagnait.

 

-Lui : un instant s’il vous plait.

 

-Moi : okk

 

Je m’étais dit qu’il voulait sûrement passer à la vérification. Quelques secondes après, il me répondit :

 

-Lui : oui, il s’agit M. Christophe. C’est vous qui l’accompagniez le jour-là ?

 

-Moi : non, non, ce n’est pas moi.

 

-Lui : alors que voulez-vous ?

 

-Moi : cet homme du nom de Christophe a été tué, poignardé deux fois à mort.

 

-Lui : quoi ?? Comment avez-vous su cela ?

 

-Moi : bref, je suis une source anonyme. Prenez votre stylo et écrivez : rue OKLM, maison 179. Si vous voulez que je vive, ne dites rien à personne sur moi. Allez juste à la police, vous savez ce que vous avez à faire.

 

-Lui : jeune hom…

 

Avant même qu’il ne finisse, j’ai raccroché. Je n’ai pas assez de temps, j’ai commencé par faire mes bagages mais non ! je ne devais pas ! si je pars d’ici, Julien et sa bande vont sûrement me retrouver après et quand ils sauront que je suis celui qui a trahi le réseau, ils pourraient me tuer. Je défais ma valise et je retourne au lit comme toute à l’heure.

 

J’étais là jusqu’au retour de Mike. Après le départ de nos informaticiens, les polices débarquèrent. Ça ne me surprit pas puisque j’étais l’auteur de tout ceci. Ils commencèrent par fouiller un peu partout.

 

-Mike : c’est quoi le problème cher policier ??

 

Aucun d’eux ne répondit. Depuis là-haut, un des policiers appela le chef.

 

-Policier : chef, le corps est ici.

 

Il va voir de l’autre côté et reviens vers nous.

 

-Chef : cette maison vous appartient-elle ?

 

-Moi : non !

 

Je vois Mike qui me fait de gros yeux mais je fais comme si de rien n’était.

 

-Chef : alors à qui appartient-elle ?

 

-Moi : à mon…

 

-Mike : cette maison m’appartient !

 

-Moi : c’est faux ! elle appartient à Monsieur Julien.

 

Je ne sais pas pourquoi en toute chose, Mike aime endosser les responsabilités qui ne le concernent même pas.

 

-Chef : bref, vous êtes en état d’arrestation tous les deux ! vous irez expliquer tout au commissariat

 

-Mike : ce n’est pas possible

 

-Chef : je vous prie de garder le silence !

 

Mike était tout troublé, je sais qu’il serait en train de se poser la question à savoir comment les policiers ont-ils fait pour savoir qu’il y avait un corps ici chez nous. Moi, je m’étais préparé pour ça.

 

Les menottes aux mains, Mike vient souffler dans mes oreilles quelques petits mots.

 

-Mike : que se passe-t-il ?

 

-Moi : j’aimerais te poser la même question.

 

Je sais qu’il a commencé par douter de moi mais il n’y a rien à faire. C’est comme cela que nous nous sommes rendus au commissariat.

 

FIN DU FLASH-BACK…

 

 

 

M. JULIEN

 

Le policier qui nous interrogeait avait donné sa place à un commissaire.

 

-Commissaire : sachez que tout ce qui est écrit dans mon rapport ici est contre vous. Vous refusez de dire le vrai coupable alors que vous le connaissez.

 

-M. Julien : chef, ce n’est pas du mensonge, c’est un suicide.

 

-Commissaire : taisez-vous ! comment pouvez-vous mentir dans le compte d’un directeur Général comme ça ? Savez-vous qui il est réellement ?

 

Ah oui ! en plus d’être mon bras droit, il est directeur. J’avais vraiment oublié ce détail. Que vais-je faire ? Je dois rapidement trouver certaines preuves même falsifiées pour nous sortir de là sinon nous risquons gros.

 

-Commissaire : étant donné que cet homme contribue beaucoup pour la nation et que vous l’avez finalement tué pour je ne sais quelle raison, vous allez devoir répondre de vos actes devant un tribunal.

 

-Moi : mais moi, je n’étais pas là.

 

-Commissaire : si ! vous étiez parti juste avant que la police ne débarque. Quand je dis que tout est contre vous, c’est que c’est le cas.

 

Je continue de me poser des questions, qui a donné toutes ces informations à la police ?? Je ne peux vraiment pas rester en prison, je ne peux pas. Comment vais-je dormir ? D’ailleurs sur quoi vais-je dormir ? Selon les dires des gens, tout est vraiment salle en prison, surtout dans mon pays.

 

-Commissaire : il se fait tard. Vous dormirez ici ce soir et demain matin, vous serez déférez en prison.

 

Pfff ! non mais je vois que les garçons ne se gênent même pas suite à ce qu’on venait de nous dire. Sûrement qu’ils sont en train de compter sur moi mais actuellement, je suis dépourvue d’idées. Je n’ai rien comme plan surtout parce que je ne m’entendais pas à ça.

 

-Commissaire : tout est dit !

 

-Moi : on va vraiment dormir ici ?

 

-Commissaire : je pensais que vous aviez tout compris. C’est un directeur que vous avez tué, je vous le répète.

 

Et il partit. Je fais signe à Stéphane qui s’approche en même temps.

 

-Stéphane : papa, je ne comprends rien.

 

-Moi : moi non plus

 

-Stéphane : rassures-moi au moins que tu n’as pas tué l’homme en question.

 

-Moi : je ne l’ai pas tué. Le tout puissant m’est témoin. C’était plutôt pour prendre soin de lui qu’il était avec moi. On était amis, je ne pouvais quand même pas le tuer, c’est juste impossible et surtout intolérable.

 

-Stéphane (chuchotement) : as-tu confiance aux deux gars qui sont assis là-bas ?

 

-Moi : c’est pour cela que tu dois me rendre un service.

 

-Stéphane : tout ce que tu veux.

 

-Moi : dans l’agenda de mon bureau à la maison, tu verras un contact du nom de Dylan. Appelle-le et explique-le ce qui se passe. Dis-lui qu’il doit vérifier nos appels téléphoniques de ces derniers jours. S’il refuse de le faire, ce sera lui le traitre. Mais s’il le fait, il verra sûrement quelque chose qui cloche. Tout ce qu’il te dira me sera essentiel.

 

-Stéphane : demain matin à la première heure, la rencontre aura lieu et je te tiendrai au courant.

 

-Moi : parfait ! euh, autre chose…

 

-Stéphane : oui ?

 

-Moi : euh, bon... Je ne sais pas si tu pourras le faire mais…

 

-Stéphane : papa, dis seulement ce que tu as à dire. On verra ce qu’on peut faire.

 

-Moi : j’ai un boulot que j’appelle le réseau.

 

-Stéphane : le réseau ?? Je pense avoir déjà entendu le nom là quelque part. Apparemment, ils maltraitent les filles là-bas.

 

-Moi : toutes ces choses sont des blablablas. On ne maltraite personne.

 

-Stéphane : oh que si ! je connais des filles qui sont témoins de l’agissement de ce réseau. Partout dehors, tout le monde connait le réseau.

 

-Moi : les gens veulent nous nuire, c’est tout ! sinon ils ne connaissent pas nos réelles intentions.

 

-Stéphane : et c’est quoi ces intentions ?

 

-Moi : je n’ai pas le temps actuellement pour pouvoir parler de tout ça.

 

-Stéphane : non, j’ai toujours détesté ce club le réseau. Comment as-tu fait pour être membre ?

 

-Moi : je ne suis pas membre.

 

-Stéphane : mais tu venais de dire que tu en faisais partie.

 

-Moi : je suis le président-fondateur Général du réseau.

 

-Stéphane (surpris) : papa !!! non, non ! tu ne peux pas créer ce réseau. Je ne vais pas y croire !

 

-Moi : j’ai besoin de ton aide avant qu’il ne soit trop tard.

 

-Stéphane : non, je n’arrive pas à y croire.

 

   CYNTHIA

 

Je fais ce que je peux avec mon père mais à vrai dire je ne suis pas douée. Da-féli ne veut même pas que mon argent participe dans la santé de mon père Diallo. Ce n’est pas grave !

 

Je pense même que je vais déménager puisque je ne suis pas utile dans cette maison. Ceux qui sont utiles viendront sûrement bientôt. Je veux vivre seule pour bien profiter de mon indépendance. J’étais sur ces propos quand mon téléphone sonna. C’était papa Kennedy. Je suis fatiguée de lui et de toute sa bande.

 

 Ce qui me plait, c’est que j’ai au moins l’argent qu’il faut pour vivre. Je ne demanderai plus rien aux parents en ce qui concerne les biens matériels. Je décroche finalement.

 

-Moi : allô

 

-Papa Kennedy : comment vas-tu ?

 

-Moi : comment je vais ? Je pense que vous devriez le savoir.

 

-Papa Kennedy : bref, je passe te chercher dans 10 minutes.

 

-Moi : on va où ?

 

-Papa Kennedy : je vais te présenter aux autres.

 

-Moi : en présentiel ?

 

-Papa Kennedy : exact !

 

-Moi : mais il se fait tard.

 

-Papa Kennedy : c’est pour cela que je viendrai te chercher, c’est pour ta sécurité.

 

-Moi : pff

 

-Papa Kennedy : prépare-toi juste. Ah ! une dernière chose, habille-toi en noir.

 

-Moi : pourquoi en noir ??

 

Et il raccrocha ! Donc je fais partie d’une secte comme ça jusqu’à ce qu’on me demande de m’habiller en noir. Je regardais toutes ces choses à la télé et finalement j’en fais partie, bizarrement je ne regrette pas d’en faire partir. Jusqu’ici, je n’ai rien fait de mal, je n’ai tué personne.

 

D’ailleurs que vais-je encore dire à Da-féli ? que je sors ?

 

Juste après 10 minutes, la voiture klaxonna quand j’étais dans ma chambre et ma mère apparue.

 

-Da-féli : tu attends quelqu’un ?

 

-Moi : euh, oui je pense.

 

-Da-féli : il est qui ce monsieur ?

 

-Moi : tu es allée le voir?

 

-Da-féli : j'ai posé une question.

 

-Moi : c’est le père de mon DG

 

-Da-féli : et vous allez où ?

 

-Moi : hum

 

-Da-féli : Cynthia, s’il te plait, cet homme n’est-il pas un homme marié ?

 

-Moi : maman, ce n’est ce que tu crois.

 

-Da-féli (calme) : qu’est-ce que je crois ? il est déjà 19h, un homme se pointe habiller tout en noir. Qu’est-ce qu’il faut croire ? Cynthia, prends soin de toi s’il te plait.

 

-Moi : j’ai compris.

 

Le monsieur est habillé en noir. Si je fais pareil, Da-féli pourrait me tuer sur le champ. Alors je mets mon habit noir dans le sac. Je sors et je retrouve le monsieur.

 

Je le salue comme je peux et il démarre. Aucun de nous deux ne parle. Dès que je vois son visage, je me souviens de la nuit dernière, je ne sais pas si je devais dire dans mon rêve. Ce qui est sûre, c’était spirituel. Ses gémissements, sa sueur, j’ai juste envie de vomir. Je me retourne, je le regarde encore et encore et je me dis juste qu’il est le diable en personne.

 

-Papa Kennedy : pourquoi tu me fixes ainsi ?

 

-Moi : pourquoi ?

 

-Papa Kennedy : pourquoi quoi ?

 

-Moi : pourquoi avoir couché avec moi ? Pourquoi m'avoir violé?

 

-Papa Kennedy : je pensais qu’on s’était déjà compris sur ce sujet

 

-Moi : personne ne sait compris sur quoi que ce soit.

 

-Papa Kennedy : on va t’expliquer tout ce soir.

 

-Moi : c’est toujours ce que vous dites mais après rien.

 

-Papa Kennedy : ce soir, tout sera clair.

 

Il gare devant une petite maison. Il entre en premier et je le suis. Je disais que c’était une petite maison mais l’intérieur, c’est toute autre chose. Trop vaste, on entre dans plusieurs chambres avant de finalement prendre des escaliers pour le sous-sol.

 

-Moi : donc la réunion se tiendra au sous-sol.

 

-Papa Kennedy : oui, nous avons une salle pour les réunions là bas.

 

-Moi : pourquoi pas en haut?

 

-Papa Kennedy : tu poses trop de questions.

 

-Moi : ok.

 

On entre dans la salle et tout était vraiment sombre. Il y avait une petite lumière mais ce n'était pas assez suffisante pour une salle comme celle-ci.

 

Des jeunes, assez de jeunes de mon âge sont assis ici. Papa Kennedy devrait juste me dire que c'est une association de jeunes.

 

Un de ces jeunes me montra une place et je m’assieds en étant bien sûre dans mon habit noir. Oui, je l'ai finalement porté.

 

Je voyais que toutes les places étaient déjà occupées, Ce qui signifiait que tout le monde était présent .

 

Un homme fait son entrée et tout le monde se leva en récitant les mots de bienvenue à son egard dans une langue que je connaissais pas. Ce qui paraissait étrange, c'est que les mots sortaient de ma bouche comme si j'étais une habituée des lieux.

 

Après quoi, il s'assied et nous faisons pareil.

 

-Grand Chef : Nous souhaitons la bienvenue à notre nouvelle arrivée.

 

Je ne sais pas si je dois repondre ou pas. J'ai finalement choisi de me taire.

 

-Grand Chef : nous avons déjà dit assez de choses que nous ne dirons plus aujourd'hui.

 

J'essayais de voir son visage mais je n'y arrivais pas puisque tout était sombre à côté de lui.

 

-Grand Chef : ce qu'il y a à ajouter, c'est que ton mari a été choisi.

 

Mon mari a été choisi comment?

 

-Moi: s'il vous plait, j'ai pas  compris.

 

Quelqu'un à côté de moi me rappela à l'ordre en me disant de ne pas parler quand le chef parle. Les règles... ok!

 

-Grand Chef : BLUDISH, c'est son nom.

 

Comment est-ce qu'on peut se permettre de me choisir quelqu'un comme ils veulent.  Je n'ai jamais dit que je me marierai à 22 ans. Pourquoi me choisir un homme? Ne devrais-je pas faire le choix moi même ? D'ailleurs c'est qui ce...? Je n'arrive même pas à me rappeler du nom qu'on vient de donner.

 

-Grand Chef : nous l'appelons ainsi dans notre royaume mais son prénom réel c'est Claude, les gens l'appelent souvent papa Kennedy.

 

-Moi : Jésus!

 

-Grand Chef : n'appelles plus jamais ce nom ici. Nous avons des règles et nous les  obéissons.

 

-Moi : papa Kennedy ne peut pas être mon mari, je refuse.

 

-Grand Chef : il n'y a rien à refuser.

 

 

        STEPHANE

 

J'étais là en train d'écouter mon père et je me perdais de plus en plus sur la personnalité de cet homme que j'admirais beaucoup. Je pense que je ne le connais pas. Comment peut-il être le chef du réseau?? Non, il n'a même pas dit chef, il a dit le président. Je n'arrive pas à comprendre.

 

-Moi : donc si je comprends bien, tu cherches mon aide?

 

-Julien : oui, aide-moi. Pour le moment, je n'ai rien à faire. Bref,  je ne peux rien faire puisque je suis ici.

 

-Moi : je ne suis pas du tout content de ce club si c'est réellement pour toi, je suis confus.

 

- Julien : je sais que tu es confus mais rend moi le service et je te dirai tout une fois que je serai rentré.

 

Ça me fait vraiment mal mais est-ce à cause de tous ces trucs que je ne dois pas aider mon père? Je suis furieux mais très calme surtout qu'il y a Elvire qui me regarde de loin. Je n'aimerais pas paraître méchant.  D'ailleurs, je ne le suis pas.

 

- Moi : que dois-je faire?

 

-Julien : tu iras à la maison que j'appelle le réseau.

 

-Moi : quoi?? Vais-je entrer dans cette maison?  

 

- Stéphane : oui, les filles sont là bas et elles ont sûrement besoin de l'argent.

 

-Moi : pourquoi? Elles n'ont pas de quoi manger? Bon, j'ai compris.

 

Il me situa rapidement là où je peux trouver la maison. Il me donna même une clé.

 

-Moi : C'est fermée sur les filles ??

 

-Julien : c'est juste pour leur sécurité.

 

 

Rapidement avec Elvire, nous arrivâmes à la maison des filles. Je n'ai pas expliqué quelque chose de grand à Elvire. Je lui ai juste dit de m'accompagner. Ce qui ne la déplut point.

 

-Moi : C'est ici.

 

-Elvire : D'accord.  Doit-on entrer?

 

-Moi : oui, oui. Ou bien tu veux attendre dehors??

 

-Elvire : non, allons-y.

 

J'ouvre le portail avec la clé que Julien m'a donné.

 

-Moi : c’est quoi tout ça?

 

 

Ce que je vis me cloua le bec..

 

-Elvire : attends! Où sommes-nous?

 

-Moi : je ne sais plus

 

A SUIVRE


Ecrit par Esther AMETONOU

 

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